Ce continent a été marquée pendant plus de 40 ans par la Guerre froide et la bipolarisation. Dès le discours de Churchill, l'Europe s'est divisée en deux blocs : l'Ouest capitaliste, et l'Est alliée de l'URSS communiste. Ces deux moitiés de l'Europe ont été opposées sur le plan politique, deux systèmes totalement différents des deux parts du rideau de fer : modèle libéral et modèle communiste. La fin du communisme s'est précipitée entre 1989 et 1991 avec deux événements : réunification de l'Allemagne en 1990 après la chute du mur de Berlin en 1989, et la fin de l'URSS en 1991 (...)
[...] Donc une Europe réunifiée mais avec des limites et des instabilités. Le traité de Maastricht : en 86, acte unique Européen. On prévoit que le premier janvier 1993, il y aurait le grand marché unique européen : suppression des frontières ; chute du mur de Berlin, fin du communisme qui renforce la conviction qu'il faut que l'Europe de l'Ouest soit plus stable : traité de Maastricht, naissance de l'UE européenne. Tout commence à fonctionner le 1e janvier 93. La fin du communisme a précipité l'approfondissement (renforcer les liens de solidarité) entre les pays de la CEE, de l'UE. [...]
[...] La première décision de la CEE est la mise en place d'un marché commun. C'est baisser progressivement les droits de douanes a l'intérieur de l'espace géographique qui est la CEE. C'est un petit début, mais il se calque sur l'idée de Schuman et Monnet : montrer la coopération possible et avantageuse de l'Europe. ( On a commencé par la CECA, mais avec la CED on a voulu aller trop vite. Il faut ralentir ( CEE qui leur sera profitable sur le plan économique. La CEE de 1957 à 1989. [...]
[...] En 2005, un projet de Constitution européenne est élaboré et semble régler le problème des institutions. Le traité constitutionnel a été signé par les gouvernements, mais il faut que la population l'accepte pour que la constitution soit ratifiée. Dans les pays où on a choisi la voix parlementaire pour ratifier le traité, il a été ratifié. Dans le cas ou le gouvernement a choisi le référendum, il a été refusé : France et Pays Bas. Ces pays disent donc non a l'Europe tel que les chefs d'états veulent l'orienter actuellement. [...]
[...] Leur poids tend à diminuer notamment au cours du milieu des années 50. En effet, on est au moment ou la décolonisation s'accélère. Or c'était l'empire colonial qui affirmait la puissance de ces métropoles. Elles sont donc en train de perdre leur poids et leur prestige mondial. Ainsi, l'union de l'Europe est une nécessité politique pour parvenir à garder un poids dans le monde. De plus, jamais les deux grands (USA et URSS) n'ont jamais été aussi puissants. Il faut renforcer les pays européens, et c'est l'unité qui peut le leur permettre car ils n'ont plus aujourd'hui le poids mondial de l'empire colonial. [...]
[...] Ou davantage orienté vers le souci social de la vie des européens ? Les européens ont eu l'impression qu'elle était l'Europe des grandes entreprises, que les politiques sociales n'ont pas été à la hauteur de leurs attentes. [...]
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