Croissance et crise depuis 1945

Résumé du document

Notes synthétiques sur le thème "Croissance et crise depuis 1945" (niveau Terminale) réalisées à partir de cours et manuels. Idéal en tant que support de cours, ou pour réaliser une dissertation sur le sujet.

Extraits

[...] - La fin des 80s et le début des années 90s marque une mutation du capitalisme. Ce n'est plus la technostructure qui dirige mais les actionnaires, c'est l'avènement du pouvoir financier. - Un changement au niveau de l'emploi se fait également sentir, durant les 30 glorieuses les grèves ont pour but l'obtention d'acquis sociaux ensuite elles tendent à défendre ces acquis et même l'emploi. - De même durant les 30 glorieuses on connaît l'essor du taylorisme mais cela entraîne la démotivation des employés. [...]

[...] - Durant les 30 glorieuses la croissance et d'environ par an. En 1973 on n'assiste pas à un effondrement mais sur une longue période on remarque un ralentissement de la croissance annuel) - Durant cette période on assiste à 3 période de récession ou la croissance est faible voir négative : Avec les années 90s on revient à une logique d'économique cyclique comme dans le capitalisme. - La crise n'est pas seulement économique. Des facteurs psychologique et sociaux apparaissent avec la persistance du chômage, la nouvelle précarité et un sentiment d'horreur économique lié à la mondialisation. [...]

[...] - Cette hausse influence les coûts de production et stimule l'inflation. - En 1985 ont assiste à un contre choc avec de nouvelles productions (Mexique, Mer du mais cela ne suffit pas à ramener la prospérité, le pétrole n'est donc pas la seule cause de la crise. Les facteurs financiers - Stagflation = stagnation économique (taux de croissance faible) + inflation (hausse des prix du à la baisse du pouv. d'achat de la monnaie). - Apres 1968 il y a une hausse des salaires donc de la masse monétaire, d'ou une baisse du pouvoir d'achat du papier monnaie et une hausse des prix. [...]

[...] Ceci suppose une importation par voix maritime et donc un déplacement des usines (dans le cas de la sidérurgie de Lorraine à Fosse ou Dunkerque), voir une délocalisation des entreprises (la main d'œuvre occ. étant chère). - Cette délocalisation des centres de production engendre l'apparition de zones de nouvelle pauvreté dans les régions désindustrialisées. - L'essor du tertiaire est très important, on vente du virtuel de l'immatériel, l'absence d'industrie permet de plus de s'implanter n'importe où. Suite à cela de nouveaux types d'espace se créent : les technopôles . [...]

[...] - On assiste à un capitalisme soucieux d'innover et de produire alors que de nos jours il est principalement spéculatif. La direction des entreprises repose donc sur les membres qualifiés et non sur les actionnaires (on a une technostructure). Un commerce dynamique Il y a la volonté d'un commerce dynamique avec la baisse des droits de douane. On a la création du GATT (ancêtre de l'OMC). Le Kennedy round permet une baisse de 40% des droits de douane. On assiste parallèlement à une révolution marketing : la généralisation de la publicité. [...]