Exposé très complet et illustré, traitant des camps de concentration durant la seconde guerre mondiale au travers des dates importantes de la guerre, de la découverte de ces camps, et de leur libération.
[...] A la libération, une petite poignée de ces jeunes victimes a pourtant survécue. Le 5 avril françaises détenues à Ravensbrück bénéficièrent d'un échange et furent libérées par les suisses. Les 23 et 25 avril, le Comte Bernadotte, vice-président de la Croix-Rouge suédoise, réussi à sauver plusieurs centaines de femmes. Les autres femmes furent jetées sur les routes et vécurent le terribles marches de la mort les plus exténuées étant souvent abattues sur le bord du chemin. Et certaines des survivantes n'échappèrent pas aux viols perpétrés par les soldats soviétiques. [...]
[...] L'édification du camp fut décidée en 1938, dans les semaines qui suivirent l'annexion de l'Autriche. Ce camp ne fut pas tout à fait un camp comme les autres, il a été le premier édifié hors du territoire national de l'Allemagne, et destiné, de fait à recevoir des internés autres que des Allemands. De plus, il a son implantation qui se trouve à faible distance de la ville où est né Hitler. Au moment de l'avance alliée, le Comité International prit des dispositions pour prévenir des instructions d'Himmler : "Aucun détenus ne doit tomber vivant aux mains des ennemis mais ses ordres n'eurent pas le temps d'être exécutés. [...]
[...] Ce qu'on trouvé les américains à la libération des camps de concentrations. Quelle fut la réaction des nazis à l'approche des Alliés La première réaction des nazis a été de fuir. Ils ont évacués tous les déportés assez "solides "pour marcher, et, pour ne laisser aucune preuve derrière eux, ils ont abattus les plus faibles. C'est Le début "des marches de la mort dont plusieurs milliers de détenus trouveront la mort, comme par exemple Le camp de Neuengamme, où prés de déportés vont survivre à cette fuite des S.S, sur déportés au départ. [...]
[...] OHRDRUF II A chaque camp sa libération Auschwitz Auschwitz n'est pas un camp de concentration, mais trois camps. Le principal, est l'ancienne caserne Polonaise. On y a exterminé des polonais, des russes et des juifs de toutes nationalités. Le second camps, Birkenau qui se situe à deux kilomètres du camp principal, à surtout "servi "pour les prisonniers russes, après l'invasion de la Russie par Hitler. Le troisième camp, la Buna-Monawitz, qui se situe à huit kilomètres du camp principal, était une usine de caoutchouc synthétique dont la main d'œuvre était exclusivement composée des prisonniers des deux premiers camps. [...]
[...] I La découverte des camps a)Quand et comment les Alliés ont découvert l'existence des camps? Des renseignements précis sur la shoah parviennent, dés novembre 1941, à Washington, Londres et Moscou par le canal d'organisation juive. Britanniques et américains reçoivent des témoignages et des rapports sur les camps d'extermination, par l'intermédiaire de pays neutres, comme la Suisse et la Suède, et par le Vatican et la Croix-Rouge internationale qui ont conservés des relations avec l'Allemagne nazie. Ils sont également informés par leurs propres services de renseignements. [...]
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