Exposé sur le déroulement de la bataille de la Somme, une des batailles majeures de la Première Guerre Mondiale. Cette dernière opposait les Alliés aux Allemands. Les plus grosses pertes furent du côté Anglais et Allemand. Ce rapport est illustré de photographies prises sur le lieux mais aussi de photos d'époque. Celui-ci traite aussi de la manière dont est perpétué le devoir de mémoire pour les hommes ayant donné leur vie.
[...] Les assauts redoublaient et ne parvenaient pas à percer les lignes ennemies, les pertes augmentaient à une vitesse effarante et le front s'enlisait dans un bain de sang atroce. En cette même année, les Alliés décidèrent le lancement d'offensives simultanées sur les différents fronts. Pour le premier, on décida que Français et Britanniques mèneraient vers le milieu de l'année une offensive conjointe dans la région de la Somme. Le commandant en chef allemand décida de frapper le premier en février en attaquant Verdun. La bataille de la Somme débuta par l'explosion d'un trou de mine allemand par les britanniques. [...]
[...] Celle-ci devait être rationnée. De plus, les hommes étaient épuisés et ils étaient forcés de survivre sous des pluies diluviennes. Les conditions de vie étaient d'autant plus difficiles que les soldats vivaient loin de leur famille, ils ne possédaient que de courtes permissions et n'avaient comme moyen de communication que quelques lettres. Pendant cette période de réelles avancées technologiques apparurent. En effet, le 15 septembre 1916, apparaissent les premiers chars d'assaut. Ceux-ci vont permettre aux troupes de se déplacer assez facilement quand le terrain est dégagé sans trop de risque. [...]
[...] En effet, il réduit des scènes de vie. Beaucoup d'anglais y viennent pour se souvenir et ainsi faire leur devoir de mémoire. Ce devoir est donc de reconnaître les souffrances subies par une partie de la population surtout quand l'État en a la responsabilité mais pas seulement en effet le devoir de mémoire doit nous aider à ne pas oublier tous ceux qui ont souffert, qui ont perdu un membre de leur famille, dont la vie a été détruite, qui ont donné leur vie pour leur patrie. [...]
[...] Tous les hommes en âges d'être à la guerre étaient au front, c'était alors aux femmes, aux enfants, aux vieillards et aux handicapés de fournir des armes aux soldats en témoigne ces chiffres au début de la guerre la France compte armes lourdes ou légères dont 90% d'artillerie de campagne, en 1918 il en compte 15200 dont 45% d'artillerie lourde. Ces armes à longue portée pouvaient lancer différents types d'obus. Ceux-ci pouvaient être à fragmentation, c'est-à-dire qu'ils étaient remplis de poudre explosive et quand ceux-ci explosaient, la coque de l'obus était découpée et ces fragments d'obus très coupants arrivaient à une vitesse vertigineuse sur les soldats. L'autre type d'obus était ceux remplis de billes shrapnel. [...]
[...] Etais-tu jalouse de notre bonheur? A trente-huit ans, mon mari bien aimé, tu as quitté ta femme chérie pour venger ta Patrie me laissant peu d'espoir et à trente-neuf ans, après un an de souffrances endurées, tu m'as quitté, hélas pour toujours me laissant le cœur brisé. Maintenant pour me consoler, il ne me reste plus qu'à aller m'agenouiller sur cette pierre glacée. Adieu mon mari chéri Je te pleurerai toute ma vie. ou encore d'un soldat allemand Ô ma femme et mes enfants, je ne retournerai plus jamais dans notre maison. [...]
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