Éris, déesse de la Discorde, est la seule divinité à ne pas avoir été invitée au mariage du roi des Myrmidons Pélée et de la néréide Thétis. Pour se venger, elle jette dans la salle du banquet une pomme d'or sur laquelle une inscription annonce : « à la plus belle ».
Zeus refuse de choisir celle qui mérite ce titre et demande à Pâris, le fils du roi de Troie, de désigner la plus belle des déesses. Athéna (la déesse de la Guerre et de la Sagesse), Héra (la déesse du Mariage) et Aphrodite (la déesse de l'Amour et de la Beauté) veulent toutes les trois gagner. Chacune fait de belles promesses à Pâris pour l'influencer (...)
[...] 10- Les causes de la guerre : Les États-Unis, nés un siècle plus tôt, sont encore un pays jeune lorsque la guerre de Sécession éclate. La population est alors de 30 millions d'habitants (dix fois moins qu'aujourd'hui). Les États du Nord, représentant 2/3 de la population, sont très urbanisés : leur économie est basée sur l'industrie et le commerce. Les États du Sud, représentant 1/3 de la population, vivent pour leur part presque exclusivement de l'agriculture. La majorité de la production mondiale de coton provient de leurs plantations (grosses exploitations), où sont également cultivés le tabac et la canne à sucre. [...]
[...] Entre-temps, la nature de la guerre a changé. Au départ, le président Lincoln souhaitait ramener les États du Sud au sein de l'Union ; mais, le 1er janvier 1863, il publie la proclamation d'Émancipation, déclarant que tous les esclaves des États insurgés (c'est-à-dire de la Confédération) sont libres. Le conflit se transforme alors en une guerre pour ou contre l'esclavage. 14- La défaite finale des sudistes : L'année 1864 est terrible pour les États confédérés. Sous les ordres du général nordiste William Sherman, l'armée de l'Union s'empare du Tennessee et de la Géorgie, brûlant Atlanta et détruisant tout sur son passage. [...]
[...] Les conséquences de la bataille : Le roi anglais Henri V sort de la bataille auréolé de prestige. Il prend possession de la Normandie et de tous les territoires français situés au nord de la Loire, y compris Paris. En 1420, par le traité de Troyes, il obtient l'héritage de la Couronne de France, aux dépends du futur Charles VII. D'un point de vue stratégique, la bataille d'Azincourt (comme la bataille de Crécy de 1346) marque un tournant dans l'art de la guerre au Moyen Âge, en démontrant la supériorité des fantassins (les soldats à pied, très mobiles) sur la cavalerie (les chevaliers en armure). [...]
[...] 15- Les conséquences de la guerre : Très meurtrière, la guerre de Sécession a fait victimes. Les profondes blessures provoquées par cette guerre civile vont mettre de nombreuses années à se cicatriser. Dans les États du Sud, les conséquences de la guerre sont dramatiques : un homme sur trois est mort au combat et de nombreuses villes et plantations sont dévastées. Les États du Nord ne se réjouissent pas longtemps de leur victoire : six jours après la capitulation du général Lee, le président Abraham Lincoln est assassiné par un sudiste. [...]
[...] Les Troyens croient que leurs ennemis veulent leur faire un cadeau pour leur dire que la guerre est finie. Ils ouvrent alors les portes de la ville et font entrer la sculpture. Une fois le cheval à l'intérieur de la cité, les soldats sortent de leur cachette, massacrent les habitants et font brûler la cité. Une partie des survivants troyens deviennent esclaves des Grecs, d'autres parviennent à s'échapper vers l'Italie sous la direction d'Énée. Les héros grecs rentrent ensuite chez eux, comme le fait Ulysse dont le retour plein de dangers est raconté par Homère dans l'Odyssée. [...]
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