Né en 163 en Bythine, Dion Cassius reçut une éducation à la romaine et accéda au rang d'avocat. Partagé entre sa région natale et Rome, son bilinguisme gréco-latin traduit à lui seul ce que Michel DUBUISSON nommera plus tard son « biculturalisme ».
[...] Une guerre civile mise en scène sous la plume de l'historien 1. Un point rapide sur les effectifs en présence César : germains et gaulois 1000 cavaliers 9 et 8ème légion affaiblie 22000 hommes La Xème Pompée : beaucoup de commandement en désaccord : Afranius, Domitius, Scipion, A perdu ses alliés : Gabinus et Milon 110 cohorte 45000 hommes 2000 beneficiarii 1 léion de Cilicie Cohorte espgnole Scipion : 2 légions de Syrie Orient laissé à l'arrière Frondeur : thrace Archer : crétois va à l'encontre de la thèse de l'auteur. [...]
[...] Conclusion : Dion Cassius insiste sur les problèmes que soulève la présence d'hommes du même pays et de foyers qui se combattent les uns les autres. Il dit qu'il était plus facile pour ceux qui étaient à l'arrière de lancer des missiles contre des compatriotes ennemis invisibles, ajoutant le détail émouvant que les mourants envoyaient des messages à leurs propres tueurs. Portents, le tonnerre, le feu et les abeilles ont conspiré pour détruire l'armée de Pompée. Pompée lui-même a fui. [...]
[...] Le récit qui nous est proposé correspond au dernier chapitres du livre 41 qui nous narre la bataille de Pharsale ayant eu lieu le 9 août 48 av. JC et opposant Pompée et César suite au franchissement de ce dernier du Rubicon. Souvent assimilée à la bataille de Philippe qui se déroulera quelques années plus tard, la bataille de Pharsale fut l'objet d'un débat historiographique vif, certains historiens confondant même les lieux de ces deux différentes batailles. Il faut d'ailleurs reconnaître que la structuration de ces deux guerres civiles sont dans le texte de Dion Cassius conçut sur la même trame narrative, favorisant dés lors la confusion. [...]
[...] Attaque cavalier au visage pila devient non plus une arme de déstabilisation mais une arme de frappe : aristocrate beaux chevalier peur d'être défiguré La violence comme conséquence de l'affrontement cf le bilan humain que l'on retrouve partout en ligne III. La défaite de Pompée et ces raisons 1. La fuite des soldats 2. Le surnaturel comme explication mais aussi comme discrédit historique de Dion Cassius voir les différents présage représenté et interroger la religion romaine Limite aussi de la valeur historique de Dion Cassius auprès des historiens modernes : trop de magie malgré un réhabilitation ces dernières années. [...]
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