Dans cette dissertation de 7 pages sur le sujet "comment gouverner au Moyen Orient à la période médiévale", je me suis appuyé sur des livres anciens, ceux d'Al Ghazali notamment. J'ai obtenu la note de 18/20. Il y a une excellente bibliographie.
[...] Le gouvernement était quand à lui chargé de d'appliquer ce droit. Toutefois une partie de l'exercice de la justice demeure entre les main du souverain, en effet tout individus s'estiment victime d'un abus pouvait faire appel au souverain en dernière instance. D'ailleurs on trouve parmi le caractéristique de souverain idéal, le fait de rendre justice lui-même. Le prince devait également s'assurer de la prospérité de ses sujets (qui découle du maintient de l'ordre sociale, il pouvais par exemple commander à l'un de ses savants des cartes et description géographique qui pouvais servir aussi aux voyageurs et aux marchand. [...]
[...] Où l'exercices et les pratiques s'inscrive dans cette idéal. Nous allons donc maintenant nous intéresser à l'exercices et aux pratiques du pouvoir découlant de cette idéal, et des modèles qui nous allons le voir en réalité bien peu atteignent l'équilibre qui caractérise les grands gouverneurs, mais ces pratiques reste le reflet d'une représentation de ce que doit être l'idéal du bon souverain. Comme nous l'avons vu précédemment, le bon gouvernement, repose sur un idéal. Mais également et avant tout vers une application de cette idéal. [...]
[...] Au Xe siècle, le monde musulman connaît une série de mutations. En effet, face au califat abbasside défaillant, va apparaître, un morcellement de l'empire. D'abord deux califats concurrents, le califat omeyyade de Cordoue et le califat fatimide au Magreb. Et également, de nouveaux peuples, non- arabes, notamment les Turcs et les Berbères, vont s'imposer et instaurer des dynasties. Les divisions religieuses et ethniques vont entretenir une instabilité politique qui mène progressivement à la prise de pouvoir par l'armée, dans le califat abbasside ou la mise sous tutelle va se faire dès le milieu du Xe siècle et sous les Fatimides au milieu du XIe siècle. [...]
[...] L'idéal du bon gouvernement est abordé, en Islam médiéval, dans de nombreux traités de philosophie politique, de droit et de conseil au princes. Ces ouvrages ont moins pour objectif de proposer une organisation de l'État reposant sur des règles constitutionnelle que de mener une réflexion sur la vie en société, la notion de souveraineté et le gouvernement idéal. Le miroir des princes est le genre littéraire qui définit au mieux le souverain idéal, il est destiné directement à un prince. Afin de dicter des conseils de bon comportement à observé dans sa vie publique mais aussi personnelle. [...]
[...] Ce sont des récits de voyages. Le prince passe aussi beaucoup de temps à jouer au échec constituent une sorte de miroir de la conduite de l'État, en adoptant des qualités de sagesse et de stratégie. Cependant si l'idéal du prince savant est une réalité, le miroir au prince, va également mettre en avant, le repos et le délassement, en effet l'éthique princière est liée à des considération sur l'équilibre du corps et sur une certaine hygiène de vie. Au travers l'image du bon souverain, se dessine bien souvent, celle du mauvais gouvernements. [...]
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