Cavour, unité, italienne, Napoléon Bonaparte, conquêtes
Napoléon Bonaparte avait réussi à unifier l'Italie par ses conquêtes mais celle-ci fut démembrée en 1815 par le traité de Vienne en 7 états dont le royaume du Piémont Sardaigne ou son roi Victor Emmanuelle 2 par l'intermédiaire de son premier ministre Cavour sera à l'origine de l'achèvement de l'unité italienne. Cavour Camillo Benso Comte de Cavour nait à Turin en 1810 et mourut en 1861, c'est un homme d'état italien. Fondateur du journal Il Risorgimento en 1847 , défenseur des idées libérales, il en prit malgré les oppositions, ce qui le rendit populaire , par exemple il conclu des traités de libre échanges , il réorganisa l'armée et développa les transports dont le chemin de fer, en 1848 il est député au parlement de Turin , ministre piémontais de l'agriculture et du commerce en 1850 puis des finances en 1851 , et il devient président du conseil en 1852 et s'attache à réaliser l'unité italienne notamment son achèvement. Il négocie pour cela avec napoléon 3 mais la réalisation de l'accord conclu avec celui-ci fut un échec, Cavour démissionna mais revint au pouvoir en 1860 pour réaliser l'unité italienne de ses souhaits, enfin en1861 le royaume d'Italie fut créé. Cavour dès son entrée à la fonction de premier ministre en 1852 du nouveau roi du Piémont Sardaigne Victor Emmanuelle 2, prépara ce royaume à réussir et achever l'unité italienne, ainsi Cavour reprit l'œuvre inachevé de Mazzini pour concrétiser l'unité italienne.
[...] La formation d'un royaume d'Italie unie suite à la reprise du pouvoir par Cavour Il est ici question de voir que le royaume d'Italie ne s'est pas forgé en une seule étape, mais qu'au contraire la marche vers l'unité italienne fût progressive, ascendante. En effet il fût d'abord question de procéder à la création, dans ses grandes lignes, d'un royaume d'Italie mais celui-ci ne pouvait concrétiser l'achèvement de l'unité italienne qu'une fois la Vénétie et Rome conquises A. Une esquisse d'achèvement de l'unité italienne par la création d'un royaume d'Italie La question de l'Italie centrale fut réglée la première. [...]
[...] Comme on peut le constater l'Italie reste divisée en trois blocs et non plus en 7 états, donc l'unité de l'ensemble de l'Italie comme le désirait Cavour ne serait pas réalisée mais ce dernier était comme même satisfait car c'est un prélude pour la future Italie. Pour mettre à exécution ce plan, il fallait chasser les autrichiens d'Italie, donc cet accord entre les deux hommes prévoyait les conditions militaires qui étaient assez exigeante, car il fallait un acte agressif de l'Autriche pour que l'accord s'exécute. La politique belliqueuse de Cavour pour achever l'unité. [...]
[...] Il avait fait l'Italie, l'Italie sauf Rome et Venise qui n'étaient pas intégrées dans le royaume d'Italie. Or, sans la Vénétie ni Rome, l'Italie ne pouvait être totalement unifiée. C'est pourquoi, grâce à Cavour qui avait déjà posé les bases de l'unité, celle-ci put ainsi se poursuivre dans le prolongement de sa politique, pour ainsi dire de manière presque posthume B. La concrétisation de l'achèvement de l'unité italienne par la conquête de Rome et de Venise Venise d'abord, elle fut obtenue grâce à la France et en particulier N3 qui a habilement manoeuvré. [...]
[...] Bien entendu l'ultimatum fut rejeté ainsi Cavour obtenait l'acte agressif de l'Autriche par cette intervention militaire de cette dernière. Mais Napoléon 3 à ce moment là, sembla reculer il désirait à présent un congrès pour régler la situation, mais il était trop tard, l'Autriche avait déjà envahit le Piémont, il du alors s'exécuter et déclara la guerre à l'Autriche. Ce fut une guerre très brève elle se déroula du 10 mai au 8 juillet 1859, la France et le Piémont réussir à chasser l'Autriche par notamment la grande victoire de majanta du 4 juin. [...]
[...] C'est là qu'est intervenue la France, N3 avait été élu Président de la république grâce en partie au vote des catholiques qui demandaient en France à N3 d'intervenir pour protéger le pape, N3 était pris entre deux feux, il voulait que l'unité de fasse et il voulait protéger le pape, alors des tentatives de conciliation eurent lieu, d'abord de la part de Cavour le ministre piémontais qui tenta de négocier directement avec le pape, en vain, il lui demandait de ne conserver qu'un pouvoir spirituel, et d'abandonner le pouvoir au pape, et en même temps Cavour se tourna vers la France car celle-ci avait décidé entre temps de protéger militairement le pape et des troupes françaises se trouvaient à Rome. Cavour demanda à N3 après que celui-ci ait décidé d'emmener des troupes, le retrait des troupes françaises, en contrepartie Cavour s'engagea à respecter le petit territoire pontifical qui resterait au pape, de ce fait la France n'avait plus besoin d'être à Rome, l'accord était sur le point d'être conclu quand Cavour mourut en 6.61 et personne après lui n'eut la crédibilité suffisante pour trouver un accord. [...]
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