La France est en crise (économique, extérieure, morale). Aux élections de 1932, les radicaux s'allient aux socialistes et sont les vainqueurs de ses élections. La droite, elle, recule (pas de réformes économiques et sociales) [160 sièges pour les radicaux, 132 sièges pour les socialistes, 11 sièges pour les communistes, 250 pour la droite] A noter, l'assassinat du président Paul Doumer entre les deux tours. Cette union ne durera que le temps des élections (...)
[...] Commence en sept -la formation du Front populaire Les radicaux étaient hostiles à l'alliance à gauche (à cause des communistes), mais aux élections municipales de 35 : rapprochement. En juin 35, communistes, SFIO, ligue des droits de l'homme : formèrent un rassemblement populaire. En mm tps, union des syndicats. Le 14 juil : assises de la paix et la liberté Le 13 fev : première manifestation du front populaire. Leur programme à la veille des élections fut modéré pouvoir d'achat, plan de lutte contre la crise, qques nationalisations, détente fiscale). Pour la première fois : campagne électoral à la radio ! [...]
[...] +amélioration de la vie ouvrière+augmentation des forces syndicales. -mais les périls restent graves Les grèves persistent jusqu'à la fin de l'année, la diminution de la durée de travail n'entraîne presque pas de diminution du chômage, chute de la prod., hostilité des petits employeurs=confédération générale du patronat français veut abattre le ministère. -Réformes économiques et financières Peu de réformes (Blum doit tenir compte des radicaux et l'état de l'économie en permet peu). +Qques nationalisations (mat. De guerre, constructions aéronautiques . ) -Les difficultés :-économiques Les agriculteurs sont invités a diminuer leurs rendements afin de faire remonter les prix, ms dénoncée comme politique du pain cher Le réarmement fait augmenter l'acticité ind. [...]
[...] Le chômage et les faillites augmentent sensiblement entre 30 et 36. Les exportations diminuent plus vite que les importations. En 34 alors que la crise s'estompe dans les autres pays, elle se renforce en France. Le gouvernement est impuissant : les ministères se succèdent sans pouvoir mettre en place des politiques de redressement (Herriot, Daladier, Chautemps) en 34, Daladier est appelé par Lebrun. -Le 6 février 1934 La cause immédiate de l'émeute du 6 février 34 se place dans une suite de scandales, cette affaire Stavisky (affaire de faillite bancaire) mettait en évidence la corruption parlementaire. [...]
[...] Le 13 Mars 37 nouvel échec de Blum alors qu'Hitler met en œuvre L' Anschluss de l'Autriche. -Le retournement politique et financier Le ministère Daladier s'appuya sur les radicaux et les modérés. Il augmenta les impôts, mis en œuvre de gd travaux et la fabrication de mat. de guerre. Retour des capitaux expatriés (grâce à la reprise, aux mesures monétaires et fiscales). Les accords de Munich (29 sept 38) autorisèrent le dépècement de la Tchécoslovaquie malgré l'alliance franco-tchèque ! Puis question de Dantzig. [...]
[...] C'est le début du front populaire. -les échecs du ministère Doumergue choisi une politique de déflation. Le ministère perdit de la confiance a la suite de plusieurs morts, les radicaux furent encore plus méfiants vis-à-vis du projet de renforcement de l'executif, des ministres radicaux démissionnèrent=fin de l'union nationale en Novembre 34. -La crise générale péril extérieur Echec de la SDN. En 1932 : pacte de non-agression URSS/France puis traité d'assistance. En 1935 service militaire de 2 ans, Hitler rétablit le service militaire. [...]
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