Cours d'histoire du système éducatif français. Celui-ci retrace la période des années 1920 (prémices d'une école unique) à aujourd'hui. Pourquoi a-t-on voulu changé l'école ? Comment a t-on fait pour la changer (les réformes mises en place) ? Quelles sont les conséquences de ces modifications ? Document réalisé dans le cadre de la formation en IUFM.
[...] La pédagogie doit tenir compte de ce qu'il sait déjà. Le courant de l'université nouvelle Elle vient du sérail qui est un mouvement né après la seconde Guerre Mondiale dans des associations d'enseignants ambitieux : - Ouvrir une université sur le monde en la rattachant à l'école et à la nation. - L'idée d'une école unique qui permettrait le prolongement de la scolarité jusqu'à 18 ans quelque soit le milieu social où ils vivent : préconise un brassage social. La demande d'instruction Mécaniquement, le nombre d'enfant ne cesse de s'accroître. [...]
[...] Globalement, pour la maîtrise de la lecture et de l'écriture, il faut passer par les tests militaires. Considéré en masse sociale, le taux de réussite reste entre et 1/5. L'école de la république n'a pas de résultats extraordinaires. L'illettrisme en France est lié à l'absentéisme scolaire des campagnes. L'école du peuple ne réussit donc pas si bien. La méritocratie : Ascenseur social en panne ? Ceux qui le mérite vont pouvoir grimper dans la société. Bourdieu dira que l'ascenseur social est en panne puisqu'il n'est pas autorisé étant donné que c'est une barrière institutionnelle. [...]
[...] On observe une corrélation entre le taux de scolarisation et le taux d'urbanisation. La scolarisation est accompagnée par la population. Les métiers urbains exigent des niveaux de qualifications plus supérieures qu'à la campagne. Les activités urbaines ne sont pas subordonnées au rythme des saisons, le rythme de travail n'est donc pas le même. On observe dans les années d'après guerre une élévation générale du niveau de vie qui autorise le rallongement des études. La réussite à l'école est un moyen d'ascenseur social. [...]
[...] C'est autour de ces trois outils qu'elle va se fonder. Il y a l'image d'une école qui se finit après le certificat d'étude. La moitié des élèves français étaient présentés au certificat d'étude, donc il y a un taux de réussite élevé puisque les instituteurs faisaient une pré-selection. Il y a des structures qui se figent jusqu'au milieux des années 60' : - Ecole fondée sur la séparation des sexes. - Mise en place de trois niveaux : CP CE CM - Ecole fondée sur des pratiques pédagogiques particulières, c'est à dire la pédagogie concentrique : répétition des notions en les rendant plus complexes d'année en année jusqu'en 1923. [...]
[...] On compte environ 40 millions d'enfant dans les écoles professionnelles dans les années 1930. I Mises en question de l'école Remise en cause pédagogique A partir des années 1920, un certain nombre d'idée remettent en cause les principes de l'école : - L'école ne tient pas en compte de développement de l'enfant - Enseignement qui ne repose pas sur la motivation des élèves mais lorsqu'elle existe, elle est retirée. - Modèle pédagogique exclusivement transmissible PIAGET et WALLON : Il existe des statistiques de développement cognitif comme la psychologie. [...]
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