La Révolution française est à l'origine aussi des grandes instabilités politiques du XIXème siècle. La Restauration, elle, veut le retour d'une stabilité politique, car le siècle connaît des crises à répétition, mais la Restauration veut une égalité en droit de tous les individus de la société. Une égalité qui quelques années auparavant a détruit la société d'ordre (les classes ; noblesse, clergé et le tiers état) (...)
[...] Lorsque Louis XVIII et surtout son entourages, les ultra-royalistes (plus royaliste encore que le roi), lorsqu'ils s'inscrivent dans la fiction d'un retour à l'ancien régime, ils s'exposent à des conditions insurmontables car la société à le gout de la politique, ainsi qu'a des libertés, et au droit de propriété. Des conditions inscrites dans le tissu social. Alors comment remettre en cause l'unité territoriale, comment contester l'idée de nation et de patriotisme. Première restauration : C'est Chateaubriand dans mémoire d'outre-tombe, qui évoque en 1814 l'arrivée de Louis XVIII, à Paris, après que furent tombés l'empire suite à des défaites militaires. C'est ainsi que Louis XVIII reprit le pouvoir laisser vacant par Napoléon. [...]
[...] Restauration de la royauté 1815-1830 La France d'après Entre 1814 et 1815, les monarchistes sont aux pouvoirs. (MONARCHIE ; du grec mono seul archein pouvoir : pouvoir non d'un seul, mais en un seul Donc entre 1814 et 1815, la France est sous un régime monarchique, c'est-à-dire un régime dans lequel l'autorité politique réside dans un seul individu, et est exercé par lui-même et ses délègues, car il ne peut diriger un royaume en étant seul. Cet homme peut diriger dans le cadre d'un empire, d'une dictature, ou bien d'un royaume, comme pour la France entre 1814 et 1815. [...]
[...] Entre le printemps 1814 et mars 1815, Louis XVIII tente des nouveautés dans le régime, tels que la restauration du drapeau blanc ; les privilèges de la classe noble, qui avait pourtant disparut ; l'autorité sociale de l'église, donc une alliance du trône et de l'autel sous le poids de la défaite ; une alliance entre la bourgeoisie libérale et couche populaire orpheline de Napoléon. Ce sont les 100 jours qui symbolisent la fragilisation de la restauration suite à la défaite de Waterloo. Il y eut également après ceci un retour des royalistes sous Louis XVIII, qui instaure ainsi la deuxième restauration. Cependant la France est épuisée par les guerres, les défaites, la politique mais elle est également appauvrie est soumise à ces vainqueurs. [...]
[...] La Révolution Française est à l'origine aussi des grandes instabilités politiques du XIXème siècle. La Restauration, elle veut le retour d'une stabilité politique, car le siècle connait des crises à répétition, mais la Restauration veut une égalité en droit de tous les individus de la société. Une égalité qui quelques années auparavant à détruit la société d'ordre (les classes ; noblesse, clergé et le tiers état). Avec la Révolution Française, la société royale fut profondément détruite par le mouvement révolutionnaire. [...]
[...] C'est-à-dire une stabilisation interne du gouvernement ; une affirmation du pouvoir exécutif ; une centralisation poussée sur le plan de l'administrative et judiciaire avec la figure du préfet ; un contrôle religieux pendant le Consulat grâce à la signature du Concordat par Pie VII, garantissant ainsi une tutelle de l'Etat sur le clergé ; une restriction des libertés publiques ; mais également donne lieu à des guerres. Des guerres du consulat envers les autres rois d'Europe. Ces héritages sont rejetés en 1814 et 1815, donc pour l'Etat et ses membres, s'installe une grande tentation de retour en arrière, et donc de restauration de monarchie tel qu'avant 1789 et les mouvements révolutionnaires. Mais comment faire pour imposer à une population le retour d'un régime monarchique, alors que ce même peuple à gouter à des libertés, et à un nouveau mode de vie, de mœurs. [...]
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