Seconde guerre mondiale, résistance, Allemagne nazie, France, FFI Forces Françaises de l'Intérieur, FFL Forces Françaises Libres, Charles De Gaulle, appel du 18 juin 1940, régime de Vichy, FTP Francs-Tireurs et Partisans, Conseil national de la résistance, ONU Organisations des Nations Unies, France libre
Le 3 septembre 1939, la France déclare la guerre à l'Allemagne. Après une phase calme intitulée, la « drôle de guerre », débute la bataille de France (mai-juin 1940). Celle-ci se finit par la « débâcle » et la défaite de la France face à la Wehrmacht. Le nouveau gouvernement formé à Bordeaux par le maréchal Pétain, loin d'en appeler à la résistance face à l'envahisseur, annonce lors d'un discours le 17 juin 1940 avoir demandé l'armistice à l'Allemagne qui provoquera plus tard l'occupation du territoire français. Cependant, de nombreux Français vont s'opposer à l'armistice, à l'occupation allemande et au régime de Vichy qui collabore avec l'Allemagne. Ce mouvement est appelé la Résistance. La Résistance en France était en 1940 divisée en deux groupes : les FFI (Forces Françaises de l'Intérieur) et les FFL (Forces Françaises Libres) menées par le général de Gaulle.
[...] De Gaulle, grâce au CNR, réussit à associer Français libres et résistants de l'intérieur. Enfin, afin de coordonner les actions des mouvements de résistance de l'intérieur en préparation du débarquement allié sur les côtes françaises le 6 juin 1944, De gaulle crée le 1er février 1944, les Forces françaises de l'intérieur (FFI). Les principaux organes composant les FFI sont les Francs-Tireurs et Partisans l'Armée Secrète et l'Organisation de Résistance de l'Armée. Cependant, bien que ces trois mouvements visent tous à l'indépendance de la France, ceux-ci ont des couleurs politiques bien différentes. [...]
[...] L'armée de la Résistance menée par De Gaulle est donc composée de nombreux profils différents et touchent toutes les catégories de la population. La France libre (FFL) et la Résistance (FFI) ont toutes deux le même objectif : restaurer l'indépendance de la France, laver la défaite de 1940 et s'opposer au nazisme et à la collaboration du Régime de Vichy. C'est ainsi que le 27 mai 1943, la création du Conseil National de la Résistance (CNR) qui marque l'union de la France libre et de la Résistance est un grand pas vers la libération de la France. [...]
[...] La République des résistants se veut donc être profondément sociale. De plus, les résistants demandent à ce « que tout ce qui appartient à la France à la Nation française revienne en sa possession ». Les résistants veulent donc la nationalisation des grands moyens de production du pays : les usines doivent être contrôlées par l'État. Ils demandent également une épuration de la société française : les collaborateurs doivent être jugés puis châtiés. Enfin, les résistant veulent « que cette guerre ait pour conséquence une organisation du monde établissant la solidarité et l'aide mutuelle des nations ». [...]
[...] Ce mouvement est appelé la Résistance. La Résistance en France était en 1940 divisée en deux groupes : les FFI (Forces Françaises de l'Intérieur) et les FFL (Forces Françaises Libres) menées par le général de Gaulle. La France libre et la Résistance ont réussi à s'organiser afin d'atteindre un même objectif. Nous étudierons le personnage du général de Gaulle, un chef qui s'impose malgré les différences, puis une armée de résistants qui touche toute la population afin de servir un même objectif. [...]
[...] Ainsi, certains résistants comme les francs-tireurs sont formés pour livrer des combats et alimenter en armes de guerre la résistance tandis que d'autres sont charger de faire sortir du territoire des fugitifs. Peu importe leur mission, chaque résistant risque sa vie en tenant tête à l'occupant allemand. Enfin, Les Forces Françaises Libres (FFL) qui ne combattent pas directement sur le sol français, sont composées de profils divers. En effet, à l'été des engagés ont moins de 21 ans et 91% des effectifs totales sont des hommes. [...]
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