Exposé présentant les débuts de la démocratie, de la citoyenneté, et d'une vie politique en France dans les années qui suivent la Révolution de 1789. L'hégémonie du politique a permis des enquêtes nouvelles sur un certain nombre de sujets. Le système électoral a fait l'objet de nouvelles approches.
[...] Cette salle peut accueillir députés. ( c'est la salle des Menus-Plaisirs du château de Versailles Puis une salle est installée dans le Manège du Palais des Tuileries pour installer les députés. ( on la trouve incommode, chaude, avec peu de place pour le public (300 places contre à Versailles), ayant une mauvaise acoustique. ( c'est là que l'on parle de la droite et de la gauche (position par rapport au président ( on continue de la transformer (de nuit pour ne pas gêner les débats). [...]
[...] ( ce sont des journaux très différents dans leur contenu ( il y a une énorme presse politique Le format devient plus petit. Les revues deviennent moins chères et plus faciles à lire. Le contenu évolue. La presse devient de plus en plus politique. ( cela répond à une demande (véritable soif d'information du public) = la société est de plus en plus intéressée 200 journaux en journaux en journaux en journaux en 1794 ( Terreur = surveillance accrue = liberté d'expression mise entre parenthèse II) La représentation nationale Les députés arrivent en mai 1789. Ils y restent jusqu'en septembre 1791. [...]
[...] Elles ont longtemps été appréhendé de manière idéologique par les historiens. Des hypothèses émettent les idées que la Révolution aurait pu être causé par les protestants ou les jansénistes et leurs avoir profité. La Gazette de Paris, de ROZOI est un journal d'influence royaliste critiquant le discours des députés patriotes. LAFAYETTE, MIRABEAU, Philippe d'ORLÉANS, ROBESPIERRE sont attaqués par cette presse en tant qu'instigateurs et bénéficiaires de la Révolution. On s'offusque dans cette presse que la Révolution a été brutale. Pour eux, la Révolution est synonyme d'anarchie et d'insécurité. [...]
[...] Puis on met en place les élections. A partir de 1795, le vote se fait à bulletin secret car avant la manière de voter changeait souvent (main levé, debout/assis En janvier/février 1790, en moyenne des citoyens actifs ont participés aux élections municipales. On peut observer un tassement lors des élections cantonales de l'été 1790. En octobre et décembre 1790, pour l'élection des juges de paix puis la réélection des officiers municipaux, on observe une baisse de la participation. En juin 1791, pour la convocation des assemblées primaires, la participation est de En août 1791, pour les élections à la Convention, la participation est de En 1793, pour la ratification de la Constitution de l'an la participation est de En 1795, pour la ratification de la Constitution de l'an III, la participation est de Les sociétés politiques ou clubs Ce sont d'autres lieux d'expression démocratiques à côté des élections. [...]
[...] Dès juillet 1789, le frère et le cousin du roi s'enfuient. Des résistances conjoncturelles (ou ponctuelles) La Révolution a créé ses opposants dès la début. ( certains la trouve illégitime ( d'autres la refuse par déception ou par conviction par exemple, à Montauban, dès décembre 1789, les nobles se regroupent pour s'opposer au discours anti-féodal. Les villageois sont attachés aux curés qui sont souvent des prêtres réfractaires et réfusent d'obéir et de reconnaître les prêtres jureurs. Il y a des oppositions entre les villes et les campagnes. [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture