Durant la période de la Belle Époque, qui s'étend de 1896 à 1914 environ, la France a profité d'une forte croissance économique et industrielle, en partie grâce à la seconde révolution industrielle. Nous allons donc étudier ce qui participe à cette croissance et ce qui la freine pour montrer que la France n'est pas obligatoirement un pays dynamique en pleine modernisation (...)
[...] Dans un premier temps, le dynamisme du pays est ralenti par la population qui est déprimée. Tout d'abord, la croissance démographique chute par une baisse des naissances. Ce phénomène est dû, premièrement, à la laïcisation de la société qui engendre une baisse de la procréation, contrairement à la Bible qui incite à avoir une famille nombreuse (on observe cependant des disparités géographiques comme en Bretagne où les traditions sont plus ancrées qu'autre part). Deuxièmement, cette baisse est due au comportement malthusien de la population : le type de famille en vogue à l'époque est la famille nucléaire, composée d'un couple et de deux enfants. [...]
[...] Soutenus par une grande partie de la population, ils se manifestent par des actions violentes comme en 1994 où le président Sadi Carnot est assassiné lors d'un déplacement à Lyon. Pour conclure, cette modernisation de la société ne profite pas à tout le monde, et malgré la forte croissance, les politiques sont divisés face à cette république capitaliste. Le dynamisme français est donc freiné par cette dispersion, et n'est pas utilisé équitablement. La faiblesse de l'époque nous a peut-être fragilisé lors des guerres mondiales, d'où nos faiblesses actuelles. [...]
[...] Cette union diplomatique a sorti la France de son isolement, et même si sans le vouloir ces ententes vont éclater avec les deux guerres mondiales, elle lui a aussi permis de créer un marché extérieur propulsant l'import-export. La France a donc un rôle diplomatique important à l'époque, qui va plus tard lui permettre d'être un pilier pour l'Europe. Finalement, la France après la seconde Grande Bretagne, un empire colonial important qui facilite et améliore le marché à l'échelle nationale et internationale. [...]
[...] Dans un deuxième temps, la croissance économique est inégale. En effet, parallèlement à l'émancipation de la femme, la bourgeoisie et les classes moyennes développent une consommation de masse, avec l'ouverture de grands magasins et la création de catalogues répandant la mode parisienne en province, et des loisirs de masses tels que le théâtre, les cabarets et le cinéma. Mais pendant ce temps, les mondes agricoles et ouvriers (environ 40% de la population active à l'époque) sont délaissés de la société sur le plan moral surtout, et ce malgré leurs effort de modernisation avec les engrais et les machines, mais la balance commerciale est fragile car on importe plus qu'on exporte. [...]
[...] La France de la Belle Époque : un pays dynamique en pleine modernisation ? Durant la période de la Belle Époque, qui s'étend de 1896 à 1914 environ, la France a profité d'une forte croissance économique et industrielle, en partie grâce à la seconde révolution industrielle. Nous allons donc étudier ce qui participe à cette croissance et ce qui la freine pour montrer que la France n'est pas obligatoirement un pays dynamique en pleine modernisation. Tout d'abord, cette seconde révolution industrielle a permis beaucoup d'innovation. [...]
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