Le Front
La bravoure des combattants
- Souffrance, mort omniprésente. Moments pénibles, le soldat doit supporter intempéries, odeurs, privations, présences parasites, l'absence d'hygiène (dégradation morale et physique)
- Cependant, la vie s'organise. Création d'abris ("cagnas"), permissions périodiques -lien entre le front et l'arrière- (...)
[...] Mais aussi : les français enno par rapport aux autres dans cette guerre. Caractéristiques de la manière dont la France a vécu cette guerre, et des dommages. (plus, conséquences du fait qu'elle en sort gagnante) Il ne s'agit pas de décrire les opérations militaires, mais de voir la manière dont les Français ont vécu la Grande Guerre (autant le gouvernement que le peuple) Intro : La France devant la guerre Mobilisation générale août 1914) et déclaration de guerre de l'Allemagne à la France suite à une crise internationale (23juillet-> ultimatum autrichien à la Serbie). [...]
[...] Relèves et permissions permettent de garder le moral des troupes. Durant le conflit, la presse et la littérature officielles présentent l'image "héroïque" du soldat. Solidarité, fraternité des tranchées. L'arrière : l'installation dans la guerre longue L'organisation de l'économie de guerre Un dénouement difficile La crise militaire de 1917 et l'infléchissement stratégique L'arrière en 1917 Le dénouement (mars-novembre 1918) Conclu : L'impossible retour à l'avant-guerre Les effets démographiques/l'économie/la société Changements sociaux : les anciens combattants deviennent une catégorie à part. Changement des mentalités. [...]
[...] Cependant, la vie s'organise. Création d'abris ("cagnas"), permissions périodiques -lien entre le front et l'arrière-. Entretien de liens étroits ac la famille restée à l'arrière. Régularité des relèves et permissions élément essentiel du maintien du moral des troupes. Solidarité avec les autres soldats : fraternité des tranchées . L'image du soldat Durant le conflit, la presse et la littérature officielles présentent largement l'image "héroïque" du soldat, qui s'oppose avec la vision "réaliste" apparue pendant la guerre elle-même. (voir roman Le feu, d'Henri Barbusse) Le soldat ne se bat pas par idéal, mais par nécessité, le sentiment patriotique n'apparaît pas comme le motif essentiel de son action. [...]
[...] Optimisme naïf (censure et bourrage de crâne), mais ensuite la presse se fait bcp plus modérée. Soulagement et prudence prédominent. L'opinion prend conscience de l'échec de la guerre courte, sans abandonner l'espoir d'une décision rapide. Incertitude sur l'ampleur des pertes (tenues secrètes) mais la rumeur publique les affirme très importantes. La guerre de position Transformation de la guerre, de mouvement à position : usure. Néanmoins, endurance des hommes. Front/Arrière Intervention de l'Etat (voir Touchard) Le Front La bravoure des combattants . [...]
[...] Victimes d'une agression, ils doivent défendre la patrie menacée. Adhésion massive de l'opinion globale à l'idée de défense nationale. patriostisme défensif (pas de restitution de l'Alsace-Lorraine) Les forces organisées : le ralliement des socialistes à la défense nationale Socialistes : réunions pacifistes -Jean Jaurès-. Mais après son assassinat, les socialistes apportent leur soutien à la guerre défensive. (Jean Longuet, Marcel Cachin, Edouart Vaillant) CGT : avant antimilitarisme, mais ici, changement d'attitude net Léon Jouhaux : secrétaire général-> adhésion à la défense nationale Les appels à la grève générale ne rencontrent que peu de succès Les pouvoirs publics : l'Union Sacrée Grand rôle du gouvernement dans le ralliement général des esprits à la défense nationale. [...]
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