La résistance est le fait de volontaires qui refusent d'accepter la défaite de leur pays et qui mènent une action dans la clandestinité au nom de la liberté de la nation et de la dignité humaine. Dans le contexte de la Seconde Guerre mondiale, la résistance veut chasser l'occupant et lutter contre le fascisme. C'est par réflexe patriotique et conviction politique qu'on devient résistant. Les objectifs peuvent être différents (...)
[...] La résistance civile offrit un moyen privilégié pour creuser le fossé entre la domination militaire et la soumission politique qui était un état d'esprit. La résistance civile exprima un combat pour des valeurs d'éducation, de religion ou de santé. La population participe beaucoup. Mais cette résistance civile fut plus celle de la survie. Elle visait à sauver ce qui pouvait encore l'être. Elle se transforma toutefois en une résistance de la libération à mesure que l'espoir d'en finir avec le régime nazi se rapprochait. L'année 1943 et la victoire russe à Stalingrad est donc une date charnière. [...]
[...] Les pertes de l'armée allemande sur le front de l'Est sont estimées à 4 millions de tués et disparus. Dès le départ, Adolf Hitler faisait mention de guerre d'annihilation de guerre totale Même en mettant de côté le contexte idéologique, les manières de gouverner des dictateurs allemands et soviétiques, respectivement Adolf Hitler et Staline, ont largement contribué à l'escalade de la terreur et du meurtre de masse à un point jamais connu auparavant. Adolf Hitler et Staline méprisaient la vie humaine quand il s'agissait d'atteindre leurs objectifs de victoire. [...]
[...] Cette exploitation économique touche bien-sûr les protectorats, les Etats occupés mais aussi les Etats vassaux et bon nombre d'Etats satellites. L'utilisation de la main d'œuvre des pays sous domination allemande : 7 millions de travailleurs européens travaillent en Allemagne en 1944 et 7 autres millions sont employés dans les pays occupés. En Allemagne, les travailleurs européens sont employés dans le bâtiment, l'agriculture et surtout les industries (Siemens). Les nazis vont plus loin que cette exploitation économique et matérielle : ce qui permet de parler d'une Europe martyrisée. [...]
[...] Si il y a une idée, il s'agit plus d'une unité de fait : en Europe occidentale, tous se retrouve face aux même ennemis avec le même genre d'oppression et le même genre de réponses. Il n'y a pas beaucoup de manières d'échapper à la réquisition de main-d'œuvre par exemple. On retrouve donc une unité de faire dans la façon de réagir. Il n'y a pas du tout de résistance idéologique. La résistance se nourrit souvent à des degrés divers, d'antifascisme et de patriotisme. Cette résistante, malgré sa dangerosité et les pertes en hommes qu'elle a causés a été indispensable et très efficace contre la nazification de l'Europe occupée. [...]
[...] La Tchécoslovaquie anime un gouvernement en exil à Londres et une forte résistance se met en place face à l'occupation et la répression très pesante. Le mouvement de résistance en Europe pendant la 2ème GM a joué un rôle important dans la défaite de la puissance militaire. Les armées secrètes de l'Europe et les partisans ont recueillis des informations pour les alliés, détruit des lignes de communication, assisté des prisonniers de guerres évadés et ouvertement attaqué les Allemands. Leur travail est vital tant pour l'ouest que pour l'Est même si il reste extrêmement dangereux. [...]
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