totalitarisme, Idéologie, Idéologie raciale, Idéologie économique, système économique contemporain, Hitler, Staline, fonctionnement des régimes, Mussolini, Italie, Allemagne, fascisme, France
Après la 1re Guerre mondiale, dont les conditions de fin de guerre ont été désastreuses avec le traité de Versailles de 1919, certains peuples refusent ce traité et se tournent vers des partis extrémistes qui vont refuser ce traité. Les démocraties se retrouvent fragilisées et c'est ce qui permet la mise en place de régimes totalitaires. Il s'agit d'un système politique, nouveau, concentrant tous les pouvoirs autour d'un chef unique. Pendant l'entre-deux-guerres est créé le nazisme en Allemagne, le fascisme en Italie ainsi que le communisme en URSS. On peut se demander s'il existe un ou plusieurs totalitarismes. On étudiera tout d'abord leur idéologie, puis le fonctionnement des régimes, puis pour finir, leurs pratiques.
[...] Ce développement se fait au détriment de l'agriculture, les paysans ne sont pas motivés par l'idée de travailler dans des collectivisations, ils ne seront pas productifs. La mise en place de l'économie reste tout de même semblable, on investit dans des usines afin d'augmenter le pouvoir militaire du pays. Staline va lui, essayer la collectivisation de l'économie contrairement à Mussolini et Hitler. C. Chef Dans tous les totalitarismes, il existe un chef unique, suprême, incontesté et charismatique qui va concentrer tous les pouvoirs. Il sera le seul à voir les choses clairement, le seul à connaître la vérité exacte. [...]
[...] Hitler et Staline condamnent donc fermement le capitalisme, mais ont quand même une idéologie assez différente, Mussolini, lui, va également refuser le capitalisme, mais va venir installer une idéologie économique non loin de celle-ci, Mussolini refuse également le marxisme, idéologie économique de Staline. Les idéologies économiques des totalitarismes vont donc être différentes. II. Fonctionnement des régimes A. Mise en place Tout d'abord, Mussolini profite d'une fracture entre le nord, développé et riche, et le sud, assez pauvre et non développé, en Italie pour émerger politiquement. [...]
[...] En 1920, Mussolini militarise son mouvement. Les « faisceaux italiens de combats » veulent éviter la révolution, en menant des opérations contre les grévistes ainsi que les syndicats. Il est ensuite nommé président du Conseil à la suite d'un accord avec le Roi Victor Emmanuel II. Il obtient le pouvoir par la force et par l'utilisation de la violence par l'intermédiaire des faisceaux italiens de combats. À l'image de Mussolini, Hitler tente d'obtenir le pouvoir par la force en faisant un coup d'État avec la complicité de la police, or il oublie de prévenir la police et est arrêté. [...]
[...] Violence La violence sera permanente dans l'ensemble des totalitarismes. Elle va s'affirmer tel un moyen efficace de gouverner, celle-ci sera multi forme. Dans tous les régimes totalitaires, une violence généralisée sera mise en place afin de sanctionner les diverses fautes commises par les populations. La répression sera également omniprésente envers les ennemis, toute personne s'opposant au régime ainsi qu'à ces décisions de manière volontaire ou involontaire sera considérée comme un ennemi. Elle va également permettre d'exercer un contrôle permanent sur les populations par la terreur. [...]
[...] Hitler et Mussolini vont donc se ressembler en ce qu'il représente pour leur peuple respectif, Staline va légèrement leur ressembler, mais aura une image plus paternelle que les deux premiers. Néanmoins, il existe dans tous les totalitarismes un chef suprême régissant tous les pouvoirs. III. Pratiques totalitaires Pour finir, le totalitarisme va s'exercer à travers différentes pratiques. Les totalitarismes vont donc exister à travers différents points, on abordera premièrement la violence, ensuite on parlera de l'encadrement de la population puis pour finir, on abordera la propagande. A. [...]
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