4 Septembre 1870 : Gambetta proclame la République. Les Prussiens ne veulent pas discuter avec GAMBETTA et réclament l'organisation d'élections pour élire une chambre (le Parlement) légitime et signer l'armistice. 2 camps vont s'affronter pour l'élection des députés, les républicains pour la guerre et monarchistes pour l'armistice. Les monarchistes gagnent et l'armistice est signé en Juillet 1871 et vont réclamer l'Alsace et la Loraine (...)
[...] Constitution GREVY = la prépondérance va au Président de la République, il a le plus de pouvoir. GREVY va changer l'interprétation de la constitution et va dire que c'est l'assemblée qui a tous les pouvoirs et qu'il se pliera aux volontés de l'assemblée. L'assemblée va donc faire et défaire les ministères, régime d'assemblée et de partis. La pratique va déterminer le sens des pouvoirs. Section 3 : la crise boulangiste 1880 : période de mécontentement social à l'égard de la république, car on lui reproche : - de pas réaliser son programme (n'a pas avoir amélioré le sort de la population) - les scandales financiers (scandale de Panama qui a impliqué Clémenceau ministre de la guerre 1886) On reproche au système parlementaire de la 3eme république d'être bavard et peu de réalisation. [...]
[...] Lutter contre le gvt de Thiers et contre les versaillais. Un conseil général de la commune est proclamé, avec un programme politique (arriver a une activité économique, à l'école publique et laïque ; réduction des heures de travail ; solidarité entre les travailleurs : caisse de retraire ) les revendications du peuple parisien vont être réalisées par la suite, mais survenue trop tôt, le contexte politique ne le permettait pas au 28 mai 1871 : fin de la commune de paris, la semaine sanglante qui renforce le pouvoir personnel de Thiers. [...]
[...] 1ere fois que les intellectuels s'engagent en politique. Affaire qui va faire un clivage net entre la droite et la gauche. D'un coté ceux qui sont pour Dreyfus, les dreyfusards, républicains de gauche, qui vont dire que les droits de l'homme s'impose à tous le monde y compris les institutions, et de l'autre les anti dreyfusard, républicains de droites et nationaliste pour qui on ne peut pas remettre en cause l'armée, partisans de la raison d'Etat. L'évolution des nationalismes qui vont tendre vers l'antisémitisme. [...]
[...] Au départ il est écrivain et va étudier l'histoire comme Marx et va se rendre compte que le régime le plus stable est la monarchie catholique, il va théoriser les raisons de la décadence du peuple français : 1er raison : contre la réforme du protestantisme 2eme raison : contre la révolution et les lumières mettant en avant l'individu contre la société, car pour lui la société est plus importante que l'individu. 3eme raison : contre les juifs ; Pour lui le nationalisme est scientifique et il va créer l'action française. [...]
[...] (1er syndicat crée en 1985 la GGT). Section 2 : les partis droites De 1870 à 1890 il n'y a pas eu de partis de droite. En 1875 les monarchistes : les orléanistes et les légitimistes. A partir de 1890 on revoit les partis de droite et on en trouve 2 : les républicains conservateurs et les nationalistes. - Les nationalistes républicains Maurice BARRES, ils sont antisémites, revanchard et cléricaux (contre la laïcité), on les appelle les nationalistes sentimentaux ou romantiques = mourir pour sa patrie. [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture