Benjamin Disraeli (21 décembre 1804, Londres ? 19 avril 1881), 1er comte de Beaconsfield, fut un homme politique britannique d'origine juive. Il entre dans la vie politique en 1832 en tant que candidat au poste de député de Wycombe. En 1835 il adhère au parti conservateur. Il échoue de nouveau à l'élection de Taunton en avril 1835, puis remporte l'élection de Maidstone en juillet 1837. Après son entrée au parlement, il se fait le champion des idées protectionnistes (...)
[...] L'un de ses amis l'a conseillé une fois 'First of all, remember she is woman'. Le conservateur flattait souvent la règne Victoria et elle, de sa part, démontrait ses préférences pour lui. D'autre part elle ignorait le leader du parti libéral.[3] Pour Disraeli les garants de la cohésion britannique étaient l'aristocratie, l'église, la monarchie, contrairement aux principes radicaux des libéraux. Très souvent attaquait-t- il l'oligarchie qui venait du parti libéral.[4] Dans son discours il souligne l'absence de révolution en Angleterre, ce qui n'est pas le cas en France par exemple. [...]
[...] That is a wide subject, and, if properly treated, comprises almost every consideration which has just claim upon legislative interference if the population every ten years decreases and the stature of the race every ten years diminishes, the history of that country will soon be the history of the past.” Il s'est rendu compte que working class” était un nouveau électorat et il devait répondre à leurs demandes en vue de les attirer. D'autre part il savait que l'électorat traditionnel les propriétaires ne supportaient pas des réformes radicales et il a essayé de protéger leurs intérêts. by a programme is meant a plan to despoil churches and plunder landlords, I admit we have no programme.” A cette époque Gladstone a voté the Irish Land Act (1870) qui compensait les fermiers licenciés des propriétaires des terres. Pendant son mandat il a introduit des réformes drastiques qui ont complètement changé le pays. [...]
[...] Bibliographie Adelman Paul, Gladstone, Disraeli and Later Victorian Politics, Pearson Education Limited Feuer Lewis, Imperialism an the Anti- Imperialist Mind, Transaction Publishers Lee Stephen, Gladstone and Disraeli, Routledge Murray D. [...]
[...] Selon Disraeli les Etats-Unis présentent aussi un danger qui ne doit pas être sous-estimé. Un traité diplomatique entre les deux pays n'était pas passé au Sénat américain et il attaque toujours la position de Gladstone. great danger is the present state of our relations with the United States.” En fait la principale préoccupation de la Grande Bretagne pendant cette période est la Russie. L'Angleterre ne veut pas permettre à Russie d'élargir son influence en Europe et surtout en Europe de l'Est (le conflit de la guerre de Crimée). [...]
[...] En 1835 il adhère au parti conservateur. Il échoue de nouveau à l'élection de Taunton en avril 1835, puis remporte l'élection de Maidstone en juillet 1837. Après son entrée au parlement, il se fait le champion des idées protectionnistes. Il devient brièvement Premier ministre de la reine Victoria du Royaume-Uni en 1868, qui le tient d'ailleurs en très haute estime, puis de nouveau de 1874 à 1880. Chef du parti conservateur, il alterne au pouvoir avec son grand rival, Gladstone. [...]
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