Defining nationalism before considering its development and emergence in the second half of the 19th century and the early 20th is useful because it offers us a good base for a greater comprehension of the phenomenon during this period of time. As Michael Hughes correctly points out in ‘Nationalism in Society', commentators generally seem to agree that the nation is a concept of unity (1). The unity he is speaking of can be based on a variety of criteria ranging from language and culture to religious beliefs, of which Israel and Pakistan are examples. A nation has characteristics that isolates or differentiates it from others, individual features, which render it unique. Professor Mancini puts it as ‘a natural community of people with a common territory and common origins, customs and language, united for a common life and common social awareness' (2). New nations forming in the 19th century meant fertile ground for new political organisations, and differences in between the political right and left became very apparent. Whereas the right commonly backed nationalism, socialists and the traditional left never came to terms with it. Methods of propaganda were obviously used to gather popular support but these methods varied from country to country, some using racism and xenophobic slogans and some relying solely on the love of the nation. For a nation to be stable it needed to be prosperous and free, like Guizot said, and in 1848 the revolutions broke out because countries had none of these features. The population's unrest developed into revolts and manifestations, some furthering their actions by going on and forming national ‘revolutionary' groups. I will call them ‘revolutionary' because they were a destabilising factor for the ruling forces. All over Europe in the period between 1880 and 1914 nationalism took a dramatic leap, becoming an important actor in politics and creating a number of fanatical movements. These were movements that focused on their nation, proudly lifting a national flag against foreigners, Jews and liberals. Movements within countries or empires developed like in the Austro-Hungarian Empire where local populations, Magyars in particular, demanded independence or at least more liberties.
Commonly, a high degree of aggressiveness could also be attributed to these forces originating from a will to expand or consolidate territories but this wasn't a general rule of nationalism, some simply wanted to expel foreigners. What is interesting to consider too is if the States drove the people to the First World War or if it is the people who led the nations into it.
[...] Le seul secteur que les forces croates n'eurent pas à prendre de force fut le secteur Est, qui fut éventuellement réintégré le 15 janvier 1998. Durant et à la suite de l'intégration de ce secteur, l'exode des serbes des Krajinas fut tel que la majorité de la population de ce secteur est maintenant pour la plupart Croate. La Bosnie-Herzégovine Au moment où les demandes d'autonomie régionales et d'indépendance retentissent dans toute l'ancienne Yougoslavie, Alija Izetbegovic, leader de la Bosnie-Herzégovine, réclame lui aussi l'indépendance en dépit des problèmes imminents causés par la diversité ethnique de sa république. [...]
[...] Tito qui craint une résurgence du nationalisme serbe, accorde au Kosovo, en 1974, l'autonomie au sein de la République de Serbie. Acquis en 1974, leur statut de région autonome fut supprimé par M. Milosevic en 1989, ce qui aboutit à un renouveau du sentiment national albanais et à une longue lutte contre la politique de discriminations mise en place par le régime yougoslave. En 1981, de violentes manifestations opposent à la police yougoslave les Kosovars qui demandent désormais un statut de République à part entière dans la Fédération. [...]
[...] Américains et Français fournissent alors du matériel radars et de transmissions La guérilla albanaise La guerre au Kosovo s'exporte de deux façons en Macédoine. D'abord par un afflux massif de réfugiés albanais du Kosovo en Macédoine, réfugiés qui viennent gonfler la communauté albanaise de Macédoine (cf. carte et graphes suivants). Ensuite, par le développement d'une branche albanaise de l'UCK en Macédoien : l'UCKM. Les réfugiés en Macédoine en mi 2000 Le 7 janvier 1998, l'Armée de libération du Kosovo (ALK, en albanais Ushtria çlirimtare e Kosovo, UÇK), qui dispose de bases arrières au nord- est de la Macédoine, publie son communiqué numéro 41. [...]
[...] Les escarmouches localisées mettent maintenant aux prises cette fédération et les Serbes bosniaques. La République fédérale Yougoslave (RFY) Les mouvements indépendantistes ont laissé une République Fédérale Yougoslave fragmentée et dissoute. Le Monténégro et la Serbie, avec les régions autonomes du Vojvodine et du Kosovo, est tout ce qui reste de l'état yougoslave Elle a une superficie qui représente deux fois celle de la Nouvelle-Écosse. Toutefois, la RFY demeure la plus grande et la plus populeuse des anciennes républiques socialistes fédérales de Yougoslavie. [...]
[...] Cette situation précipita des combats pour le contrôle de ces secteurs entre les forces croates et serbes des Krajinas. Au mois d'avril 1992, devant la gravité de la situation, quelque casques bleus de la Force de protection des Nations Unies (FORPRONU) furent déployés afin de limiter les combats, établir les conditions nécessaires pour une réintégration pacifique des Krajinas sous contrôle croate et favoriser le retour au foyer des réfugiés croates. En mai 1995, la Croatie, exaspérée par l'inhabilité des Nations Unies à remplir son mandat, lance l'Opération Éclair et occupe à nouveau le secteur Ouest de la Croatie. [...]
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