Le massacre de Nankin en 1937 est un événement de la seconde guerre sino-japonaise durant lequel les troupes japonaises se livrèrent à des atrocités contre la population civile de la ville chinoise de Nankin. Ce massacre a fait près de 300 000 victimes. Sans compter les 20 000 viols qui ont été perpétrés.
[...] Des bébés furent jetés en l'air par des soldats japonais et empalés sur des baïonnettes. Une unité nipponne, l'unité 731, a même charcutée des prisonniers en vue d'expérimentations médicales dont les Américains ont récupéré les résultats scientifiques au prix du silence et au mépris du droit humanitaire. Cette unité se livra aussi à des expériences de guerre bactériologique et à des vivisections sur plus de personnes, pour la plupart des civils chinois et a mis en pratique ses découvertes en propageant des épidémies à travers l'eau des puits. [...]
[...] D'abord, s'emparer de la Mandchourie pour les matières premières. Ensuite, de la Chine pour la main-d'œuvre (450 millions d'habitants). Puis de l'Asie du sud-est (en particulier l'Inde) pour la richesse religieuse Et enfin, s'attaquer à l'Australie et aux Etats-Unis : Dernière étape pour dominer le monde (en compagnie de l'Allemagne nazie en Europe). Le Japon (fort de 75 millions de guerriers prêts à mourir pour leur Empereur Hiro-Hito, considéré comme un demi-dieu se sentait investir d'une mission : Celle d'affranchir l'Asie de la domination blanche La libération des différents peuples de l'Asie devait se faire petit à petit pour ne pas soulever la colère du reste du monde, et cela, sous la coupe de la race supérieure qu'est le Japonais. [...]
[...] Mais, espérons que le nouveau premier ministre japonais, Shinzo ABE, soit l'homme de la réconciliation. [...]
[...] En 1937, suite à l'Incident du pont Marco Polo, Hirohito donna son accord à l'invasion du reste du territoire chinois, ce qui conduisit à la Guerre sino-japonaise (1937-1945) II Le massacre Le 7 juillet 1937, les Japonais prennent prétexte d'un incident sur le pont Marco Polo, près de Pékin, et vont se lancer brutalement à la conquête de toute la Chine. En quelques mois, ils occupent près d'un million de kilomètres carrés peuplés de 60 millions d'habitants et mettent en œuvre une politique de terreur systématique pour tenter d'abattre la résistance intérieure. Les massacres deviennent la règle et atteignent leur maximum avec la prise de Nankin, ancienne capitale de la Chine et siège éphémère du gouvernement du chef des nationalistes chinois, Tchang Kaï-chek. S'ensuit six semaines d'horreur, du 13 décembre 1937 à janvier 1938. [...]
[...] Shinzo ABE, le successeur de KOIZUMI, reste anti-chinois, bien qu'il soit un peu plus diplomate Il est possible qu'il renonce aux visites au sanctuaire, mais jamais il ne renoncera à l'hostilité en vers le gouvernement de Pékin. Sur le plan économique, ses deux géants sont très liés, mais ne cessent de s'affronter. En 2005, la Chine est devenue le premier partenaire commercial du Japon. De plus, les investissements japonais en Chine ont augmenté de près de pour atteindre 6,5 milliards de dollars (loin devant les Etats-Unis ou l'Union Européenne). Malgré leurs désaccords, la Chine a besoin des investissements, de la technologie et du marché japonais. Cela pourrait contribuer à l'apaisement de leur relation. [...]
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