ce cours répond à la problématique: Comment s'imposent les théories du développement en Amérique Latine?
[...] La presse est un véhicule de l'opposition. La droite conservatrice et libérale s'oppose à ce type de dépenses. On leur reproche d'endetter les économies, ce sont des interventions autoritaires de l'Etat dans la vie économique, d'avoir des politiques sociales comme excessives empiétant sur la propriété privée. Ce sont des tensions très violentes, qui se terminent dans le cas de Vargas par son suicide, poussé par les conservateurs. Son suicide est passé pour un sacrifice pour ses idées, et ça a permis la continuité des institutions (vice-président au pouvoir), ce qu'a fait qu'à la date normale des élections, les élections se sont passées normalement, où un candidat a gagné, dans la lignée de Vargas. [...]
[...] C'est le grand financier du développement financier brésilien des années 50-60's. De même que le Mexique avait nationalisé son pétrole, le Brésil recherchait du pétrole, et tourne une question de nationaliser les richesses du sous-sol ou de laisser le marché au capitalisme. Vargas crée l'entreprise publique Petrobras en 1954, qui est devenue une des premières compagnies pétrolières mondiale. C'est une entreprise publique typique qui a une volonté de développer industriellement le Brésil. Cette industrialisation, dans cette période, est le moment des plus grandes croissances des économies latino-américaines avec en moyenne 3-4%/an. [...]
[...] C'est un bilan très difficile, qui indique des pistes pour le développement industriel. Dans cette perspective, il y a aussi des diagnostics locaux, comme la Géographie de la faim, un géographe brésilien très connu Josué de Castro, qui a été publié par des filières chrétiennes. Ce livre met l'accent sur la malnutrition, la faim, avec une mortalité infantile très importante. Le gouvernement Chilien demande aux Nations Unies qu'il y ait une commission économique spécifique pour la région. Ils l'ont obtenue avec difficulté car les USA sont hostiles. [...]
[...] Les mois précédents. Il a révélé un rapport « Le développement de l'Amérique latine et ses principaux problèmes ». Dans l'introduction, il explique que le vieux schéma de l'organisation internationale du travail (faire ce qu'on faisait avant = export et agriculture) ne marche pas car ça ne peut pas aboutir au développement des pays périphériques. Les termes des échanges ne sont pas égaux, les produits manufacturés sont plus chers. On ne pourrait pas ni combler un retard, ni soulager la pauvreté qui découle de cette inégalité. [...]
[...] Ce que prône la CEPAL c'est l'industrialisation de substitutions aux importations (ISI). On ne veut pas s'industrialiser pour exporter, mais pour éviter d'importer, et pour entraîner un effet sur la consommation, les salaires . Tout est à faire pour industrialiser, il y a peu de capitaux qui s'investissent dans des entreprises d'industrie (ex : acier). Le manque de combustibles et le manque de moyens de transport empêche aussi le développement VERS L'INDEPENDANCE ECONOMIQUE ? L'intervention de l'Etat Le Brésil a été assez pionnier dans ce domaine sous le gouvernement de Vargas, et donne à l'Etat, un rôle essentiel dans l'économie. [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture