Pénurie de main-d'oeuvre efficace, rationalisation du travail, immigration, modèle de Taylor, mécanisation, ouvriers étrangers
Au XIXe sicle le patronat français, s'est illustré par une certaine timidité vis-à-vis des innovations technologiques. Les premières décennies du XXe sont un changement brutal. Entre 1906 et 1931, l'industrialisation française selon Edmond Malinvaud , l'industrie française à fait un effort supérieur à la mécanisation par rapport aux États-Unis et de la Grande-Bretagne. Son effort est comparable à celui de l'Allemagne. Les moteurs primaires progressent de 14% par an.
[...] On créé la SGI (Société Générale de l'Immigration) qui recrute des migrants. Elle en recrute entre 1924 et : le travail à la chaine est effectué à par des étrangers. On constate, que ce l'on voit en France, s'est déjà produit aux Etats-Unis. Il y a 2,7 milions d'immigrés dont italiens et polonais. Les droits et les conditionts de vie des ouvriers : On constate que les nombreux droits auquel le citoyen français à le droit, les immigrés , n'ont pas ce droit. [...]
[...] Elles sont de moins à travailler dans le secteur du textile mais ce secteur reste en tête de l'emploi féminin en 1931). L'importance des ouvriers étrangers : En France en 1930, il y a 15 des ouvriers qui sont étrangers. Mais il faut préciser qu'en 1931 avec la crise, certains étrangers employés auparavant sont repartis. Il y a aussi le problème que l'immigration clandestine est très importante, par rapport à l'immigration contrôlée, remarqué par Georges Mauco. Même si beaucoup se font réguler sur le sol français. [...]
[...] Deux solutions privilégiés pour faire face à la pénurie : la rationalisation du travail et l'immigration. Introduction : Au XIXe sicle le patronat français, s'est illustré par une certaine timidité vis-à-vis des innovations technologiques. Les premières décennies du XXe sont un changement brutal. Entre 1906 et 1931, l'industrialisation française selon Edmond Malinvaud , l'industrie française à fait un effort supérieur à la mécanisation par rapport aux États-Unis et de la Grande- Bretagne. Son effort est comparable à celui de l'Allemagne. [...]
[...] Il a pensé à une une organsitation du travail qui soit déterminé avec une classification . Chaque service à un chef, pour en tirer le maximun de rendements de la main d'oeuvre. Le burau d'études est celui qui gére tout et qui a pensé à tout les détails. Il met en place des tâches : ce sont des éléments simples et répétitifs. Il en fait l'expérience dans son usine et cela marche très bien. Les Compagnies d'Anzin mirent son principe en œuvre, en faisant en sorte que les ouvriers réduisent leur temps de déplacement. [...]
[...] On voit que l'industrie française s'est fortement mécanisée pendant l'entre deux guerre. Et par le fait des bas salaires des ouriers immigrés, où les patrons ont fait beaucoup de profits. Le modèle tayloriste restera pendant longtemps le modèle principal, jusqu'à qu'il soit remis en cause dans les années 60. Naissance du post-taylorisme et du néo-taylorisme pour essayer de répondre à cette crise. Le post- taylorsime contiendra l'élargissement des tâches, la rotation des postes. Le néo-taylorisme quant à lui s'inspire du toyotisme, pour tenter de répondre à cette crise. [...]
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