Il y a généralisation de l'enseignement primaire. Le gouvernement bolchevik a aussi voulu faire rattraper le retard : l'éducation est nécessaire à l'extension de l'idéologie. Idem dans les pays colonisés : la civilisation se fait par la transmission des valeurs des pays colonisateurs. C'est une époque où les langues pénètrent en Afrique et en Asie.
L'enseignement secondaire se développe en Grande-Bretagne, en Allemagne, aux Etats-Unis, en France, et en URSS : on considère qu'un tiers d'une classe d'âge suit un enseignement secondaire. Brevet de l'époque aussi important que le bac aujourd'hui. Valeur importante qui permet d'accompagner la seconde époque de la Révolution Industrielle, avec le développement des cadres et managers.
Dans l'enseignement supérieur : il y a recomposition du paysage des élites par la méritocratie que l'on retrouve dans les élites publiques. On distingue élites politiques et élites privées, entrepreneuriales (il y a une nécessité de former de gérants). D'où une compétition internationale : Etats-Unis, Japon et Allemagne puis France ou URSS (à noter l'effort considérable de ce pays). Cela montre la volonté d'un système performant.
[...] Se pose aussi la question des avant-gardes, de ceux qui ont cherché la rupture. C'est tout d'abord le mouvement Dada (1916) puis le mouvement du Surréalisme (le Manifeste du surréalisme est publiée en 1920) qui toucbe tous les arts, à la recherche d'une nouvelle forme de réalité. C'est Breton et Aragon en littérature, Dali et Miro en peinture, Bunuel en cinématographie ; la révolution surréaliste est aussi un phénomène politique, le mouvement surréaliste (et en particulier Aragon) était très proche du PCF, avant la désillusion stalinienne. [...]
[...] Il prend puissance et trouve des financements dès la victoire de Saoud en 1926 (c'est la création de l'Arabie Saoudite) qui va prendre la Mecque. Le wahhabisme est basé sur la Charia. Ce n'est pas un intégrisme car il n'y a pas de violence. Pour le reste, il y a des questionnements. Le confucianisme est menacé en Chine avec l'agression japonaise. C'est aussi la perte des valeurs traditionnelles. Il en va de même pour le Bouddhisme et le Shintoïsme (japon). [...]
[...] L'Entre Deux Guerres culturel La mobilisation culturelle On note un élargissement des supports culturels. L'Ecole Il y a généralisation de l'enseignement primaire. Le gouvernement bolchevik a aussi voulu faire rattraper le retard : l'éducation est nécessaire à l'extension de l'idéologie. Idem dans les pays colonisés : la civilisation se fait par la transmission des valeurs des pays colonisateurs. C'est une époque où les langues pénètrent en Afrique et en Asie. L'enseignement secondaire se développe en Grande-Bretagne, en Allemagne, aux Etats-Unis, en France, et en URSS : on considère qu'un tiers d'une classe d'âge suit un enseignement secondaire. [...]
[...] Le protestantisme : il concerne 220 Millions de personnes, mais marquées par la diversité en son sein. Il y a utilisation de la presse, de la radio, pour la diffusion des valeurs. Des cérémonies sont même retransmises. Le protestantisme diffuse un message de réarmement moral même si parfois, il y a compromission avec les régimes totalitaires. Mais K. Barth ou le pasteur Müller s'engagent aussi contre. L'oecuménisme se développe dans l'anglicanisme : il y a nécessité de rapprochement pour lutter contre les divisions du christianisme. Les orthodoxes sont 140 Millions. [...]
[...] Au-delà de ces aspects intellectuels, les applications permettent des avancées dans l'astronomie, dans le domaine de l'atome En 1932 est mise au point l'eau lourde, qui ouvrira la voie au projet Manhattan pendant la guerre, avec Einstein et Oppenheimer à la direction. En fait la fission de l'uranium est réalisée dès 1939, mais de manière non maîtrisée. Ce qui a changé, c'est la croyance dans la science. La conséquence est que la science perd son côté sacré : elle peut avoir des fins positives, mais aussi négatives avec l'armement. Cela fait ressortir l'aspect moral de la science. Fallait-il utiliser la Bombe H ou pas ? Se demandera-t-on après coup. [...]
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