Le XIXe siècle a consacré la suprématie du Royaume-Uni sur l'économie mondiale. Cette prospérité et cette puissance reposent sur quelques grands principes: priorité à l'industrie, renforcement du capitalisme commercial et financier, généralisation du libre-échange.
En 1900, toutefois, l'économie britannique n'est plus hégémonique: affaiblie par la crise de 1873-1895 elle doit faire face à de nouveaux défis technologiques et à la concurrence étrangère.
Peut-on,donc, parler d'un déclin économique?
[...] Importance de l'investissement: puissance financière. Pour autant le fort déficit commercial doit être relativisé, la balance commerciale reste excédentaire grâce notamment aux débouchés de l'Empire au secteur bancaire et assurantiel et aux placements à l'étranger. Mais néanmoins elle est touché par la crise agricole due à la concurrence accrue et à la dépression agricole qui engendre une chute des prix et la disparition de nombreuses exploitations. L'exode rurale se répend provoqué de plus par la mécanisation qui remplace les ouvriers agricoles Conclusion: L'hégémonie anglaise n'est plus aussi nette car elle est concurrencé par l'Allemagne, la France et surtout Etats-Unis mais le RU reste prospère et le système intangible. [...]
[...] Un déclin de l'économie britannique au début du XXe siècle? Introduction: Contexte: Le XIXe siècle a consacré la suprématie du Royaume-Uni sur l'économie mondiale. Cette prospérité et cette puissance reposent sur quelques grands principes: priorité à l'industrie, renforcement du capitalisme commercial et financier, généralisation du libre-échange. En 1900, toutefois, l'économie britannique n'est plus hégémonique: affaiblie par la crise de 1873-1895 elle doit faire face à de nouveaux défis technologiques et à la concurrence étrangère. Peut-on,donc, parler d'un déclin économique? Analyse: DŽclin Žconomique apparemment confirmŽ par . [...]
[...] Les trois puissances voient leur production augmenter de manière importante. Cependant cette augmentation demeure plus importante pour l'Allemagne et surtout les Etats-Unis, notamment concernant la production d'acier. La production britannique était, en fois supérieure à la production allemande et 1,9 fois supérieure à la production américaine. En 1910, c'est-à-dire, trente ans plus tard, la production américaine ayant augmenté de 1573%, écrase les deux autres: car elle est alors 4 fois supérieure à la production anglaise et 2,4 fois supérieure à la production allemande. . [...]
[...] Le géant britannique voit croître à ses côtés des nations rivales, dont certaines ne tardent pas à ale dépasser d"une bonne tête. tel est le drame que vit le Royaume-uni dans les dernières décennies du XIXe siècle, dans les premières années du XXe. II- Une puissance ŽrodŽe qui . . rattrapŽe par et dŽpassŽe par d'autres puissances . La puissance industrielle et navale est encore présente mais elle est rattrapée par l'Allemagne et les USA(innovation dans l'énergie et les industries de pointe) et apparaissent des difficultés conjoncturelles née de la grde dépression. [...]
[...] Cependant, cette part diminue et atteint en Bien qu'ayant connu une réduction de 6 points, la Grande-Bretagne demeure leader européen avec un taux supérieur à celui de la France et de l'Allemagne mais aussi première puissance mondiale, car son taux est aussi supérieur à celui des Etats-Unis. Cette baisse pourrait s'expliquer par l'entrée en jeu d'autres puissances: le taux relatif au "reste du monde" connaît une hausse de 6 points. Un nouveau classement est alors établit: le Royaume-Uni reste placé au premier rang, cependant la France se retrouve en quatrième position derrière l'Allemagne et les Etats-Unis. [...]
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