Culte des monuments, valeurs de remémoration, théories de Riegl, paradoxes de la conservation, culte moderne
Riegl naît à Linz en 1858 en Autriche et meurt en 1905 à Vienne. Il a fait ses études à Vienne à partir de 1873. Il a suivi en particulier les cours de philosophie et d'histoire de Franz Brentano (1838-1917) d'Alexius Meinong (1853-1920) de Max Büdinger (1828-1902) et de Robert Zinmerman (1824-1898). Il est considéré comme un des membres fondateurs de la première École de Vienne avec Franz Wickoff. Il sera suivi notamment par Max Dvorak, son élève et Otto Pächt.
[...] Le culte moderne des monuments biographie et contexte biographie Riegl naît à Linz en 1858 en Autriche et meurt en 1905 à Vienne . Il a fait ses études à Vienne à partir de 1873. Il a suivi en particulier les cours de philosophie et d'histoire de Franz Brentano (1838-1917) d'Alexius Meinong (1853-1920) de Max Büdinger (1828-1902) et de Robert Zinmerman (1824-1898) . Il est considéré comme un des membres fondateurs de la première École de Vienne avec Franz Wickoff . [...]
[...] Cette analyse met en exergue ici le caractère unique et inégalé de l'œuvre au moment de sa parution. Elle évoque également les principales réflexions présentes dans son œuvre comme le mépris du nouveau, l'arrêt de créativité due au fétichisme de l'ancien, ou encore l'authenticité de l'emploi des monuments. A la fin du XIXème siècle, un contemporain anglais de Riegl le rejoint en terme de pensées du moins pour ce qui est de la conservation et restauration des monuments, il s'agit de Ruskin, poète et critique d'art. [...]
[...] : Le culte moderne des monuments, Seuil, Paris Outil : Dictionnary of historian art (biographie) Webographie : -http://www.universalis.fr/encyclopédie/max-dvorak/ -http://www.lejournaldesarts.fr/jda/archives/docs_article/27867/brève- histoire-critique-de-la-restauration.php ouvrage spécialisé Article : Délires anthropologiques : Josef Strzygowski face à Alois Riegl dans Cannibalismes disciplinaires. Quand l'histoire de l'art et l'anthropologie se rencontrent, éd. Thierry Dufrêne, Anne-Christine Taylor, Paris, INHA/Musée du quai Branly p. 149-162, P. Vaisse, Josef Strzygowski et la France, dans L'histoire de l'histoire de l'art, dir. R. Recht, Paris p. [...]
[...] l epistémologie est présente tout au long de son propos . Riegl essaye de retracer appartion des différentes valeurs en rapport avec le monument à travers les siècles, en donnant une place importante à la sujectivité et à appréciation du simple individu à historien de art. Les valeurs de remémoration dans leur relation avec le culte des monuments ( deuxième chapitre) La valeur historique Selon Riegl la valeur historique un monument correspond à une période à un moment de évolution quelquesoit le domaine de activité humaine. [...]
[...] De nombreux personnages n'ont pas adhéré aux théories de Riegl, nous allons maintenant en voir quelques uns : Josef Strzygowski (1862-1941) est l'un d'entre eux. Au début du XXème siècle, moment fondateur de l'histoire de l'art comme science humaine et scientifique, Riegl et Strzygowski s'affrontent. Cette opposition se fonde classiquement sur des rivalités académiques : l'université de Vienne contre celle de Graz ; la volonté de conserver, dans un cas, ou de conquérir dans l'autre. Malgré les lourdeurs du langage universitaire de l'époque Riegl tend à montrer qu'il veut faire de l'histoire de l'art une science universelle munie d'une communication simple avec un langage commun, Joseph strzygowsky s'oppose clairement à Riegl car il souhaite quant à lui construire une autonomie de l'histoire de l'art grâce à un modèle grammatical. [...]
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