Programme du NSDAP, 25 points, 1920, parti national-socialiste des travailleurs allemands, Adolph Hitler, Allemagne, parti nazi, extrême droite
À la sortie de la Première Guerre mondiale, la défaite allemande n'est pas acceptée par les Allemands eux-mêmes. En effet, on parle d'un mythe celui du « coup de poignard dans le dos » qui serait dû aux forces anti-allemandes. Ces dernières sont le pacifisme social et les juifs. Ce mythe permet donc d'alimenter l'idéologie du NSDAP. À la sortie de la Première Guerre mondiale, il n'y a pas que ce mythe qui se met en place : il y a aussi des mouvements de révolte qui naissent. Effectivement, ces derniers souhaitent renverser la république des Conseils de Munich ainsi que le IIe Reich. Ces mouvements vont donc permettre la mise en place de la République de Weimar en 1919. Mais ce régime est fragile, car il doit faire face à des répressions sanglantes faites par l'extrême droite. C'est grâce à cela que le parti national-socialiste des travailleurs allemands (NSDAP) plus connu sous le nom de parti nazi arrive d'une part à se fixer dans les localités comme en Bavière et d'autre part arrive à élaborer le programme que nous allons étudier.
[...] Ces traites sont l'extrême gauche qui constitue la République de Weimar et les juifs. Il faut rappeler que ce mythe fut élaboré par l'état-major allemand qui comprenait par exemple Hindenburg. Donc Hitler parle de cette trahison pour essayer de rallier à sa cause ou plutôt à son parti la droite traditionnelle c'est-à-dire les grandes familles industrielles, la classe moyenne ainsi que l'armée. Hitler a compris qu'en utilisant cet argument, il pourrait rallier à sa cause, la bourgeoisie qui se sent diminuée, car elle a été renversée à cause de ces traités qui mettent en place la République de Weimar. [...]
[...] Avec l'article 16, nous voyons que Hitler souhaite aller plus loin que la théorie du darwinisme social, il veut aussi appliquer la théorie de l'eugénisme social c'est-à-dire qu'il souhaite trouver une méthode de sélections qui visent à améliorer l'espèce humaine. Nous pouvons résumer cette pensée en disant que pour le NSDAP les Allemands ne doivent pas se mélanger avec des non-Allemands. Ainsi, il y aurait un peuple supérieur celui des Aryens. En effet, d'après le parti, un peuple ancien provenant d'Inde ou d'Iran se serait installé en Allemagne. Si ce peuple est ancien, c'est un peuple supérieur. Ainsi, le parti peut parler de race. [...]
[...] Ce qui amène le parti à créer un racisme contre les juifs en montrant toutes leurs failles selon eux. On constate aussi que l'article 24 mentionne le fait que le judaïsme affaiblit l'unité nationale par le seul fait qu'il parle une langue qu'il considère comme impure. Les juifs sont considérés comme inférieurs donc ils ne peuvent être des Allemands véritables. Ainsi, l'article 4 ne reconnaît pas la citoyenneté juive et les articles 5 et 7 montrent que les juifs sont des étrangers dont la présence est juste tolérée en Allemagne. [...]
[...] Commentaire sur le programme du NSDAP en 25 points de 1920 Introduction À la sortie de la Première Guerre mondiale, la défaite allemande n'est pas acceptée par les Allemands eux-mêmes. En effet, on parle d'un mythe celui du coup de poignard dans le dos qui serait dû aux forces anti- allemandes. Ces dernières sont le pacifisme social et les juifs. Ce mythe permet donc d'alimenter l'idéologie du NSDAP. À la sortie de la Première Guerre mondiale, il n'y a pas que ce mythe qui se met en place : il y a aussi des mouvements de révolte qui naissent. [...]
[...] En effet, le sport permet de se surpasser donc d'être le meilleur. Cela colle donc parfaitement avec l'idée d'un peuple supérieur aux autres. En effet, le sport permet de voir qui sont les Allemands résistants c'est-à-dire ceux qui sont capables d'être citoyens du Reich. Pour arriver, au but d'avoir une nation supérieur à toutes les autres, nous constatons que cela doit démarrer dès l'enfance et ainsi, une élite sociale naîtra. En effet, nous constatons que de nombreuses associations sportives sont créées ce qui donnera par la suite des associations de jeunesse. [...]
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