La Première Guerre mondiale, débutée en 1914 à cause de l'assassinat de François Ferdinand d'Autriche par Princip a mit en route le jeu des alliances, c'est-à-dire la Triplice et la Triple Entente car la Serbie était un « ami » de la Russie.
La guerre débute donc, et les civils acceptent parfaitement la confrontation, on leur promet en effet une guerre d'un mois et demi. Cependant, la guerre s'éternise et les civils deviennent indispensables, victimes et pour certains, profiteurs, c'est ce que nous allons voir.
Nous verrons d'abord qu'il y a eu une forte mobilisation des civils, puis nous verrons comment certains furent les « profiteurs » de la guerre et enfin, nous verrons que certains ont été pris pour cible par les Allemands (...)
[...] Les cinq litres de vins amènent logiquement à nécessiter énormément de vin, c'est donc de là que sont apparus les grands profiteurs de la guerre. Les civils sont également pris pour cibles, en effet on largue des bombes sur les villages ou villes comme Lens ou Arras avec énormément de dégâts humains et matériels afin de toucher les gens dans leur quotidien, affoler la population et créer une crispation au sein même du pays pour que le peuple demande des comptes à l'État. [...]
[...] Nouvelle arme, à nouveau, la Grosse Bertha très long canon avec un tir ayant une portée de 120 kilomètres, on peut désormais tirer sur la capitale à distance. La Grosse Bertha étant montée sur rails, ce n'est pas de tout repos de la déplacer et de la manipuler néanmoins. Toujours en prenant en compte que tout ce qui n'est pas militaire est civil, nous avons une grande mobilisation des scientifiques qui, tout comme les femmes, font leur maximum pour aider les soldats, et ainsi, faire en sorte que la guerre s'éternise moins. [...]
[...] Nous sommes donc forcés de constater que les civils , durant la Première Guerre mondiale furent loin d'êtres inutiles, malgré qu'aucune récompense ne leur fût donnée après 1918. II)La mobilisation des scientifiques Dans la catégorie civil rentrent les scientifiques, ils sont en effet très sollicités également puisque les conditions au front sont laborieuses et la guerre n'avance pas. On décide donc d'innover en créant de nouvelles choses. Par exemple, on se rend compte que les avions pourraient être utiles, dès lors, Henri Fareman se penche sur la question et améliora l'aviation en général, puis, Roland Garros, à son tour, équipa les avions de mitraillettes. [...]
[...] C'est-à-dire les femmes travaillant dans des usines d'armements, de munitions ou d'obus. Elles sont en effet très impliquées puisqu'elles veulent pouvoir prétendre avoir participé à l'effort de guerre et donc prétendre à une récompense, qui soit dit en passant, n'obtiendrons pas . D'autres femmes, soit âgées, ou très peu douées à l'usine ont d'autres fonctions, celles d'infirmières ou marraines, les infirmières étant choisies sans réelles réflexions, on prît les femmes au hasard. Nous avons également les anges blancs c'est-à-dire des marraines qui correspondent avec un ou plusieurs soldats, ceux-ci étant sans familles, elle tentent tant bien que mal de remonter le moral des hommes désormais assistés par des femmes qui répondent et envoient du courrier. [...]
[...] C'est à nouveau une raison pour laquelle on parle de guerre totale tout le monde y a le droit, même les enfants qui reçoivent un entraînement militaire. Vingt-et-un ans plus tard, Adolf Hitler attaque la Pologne, la Seconde Guerre Mondiale est déclarée, vingt-et-un ans suffiront-ils pour améliorer la condition féminine ? Va-t-on enfin récompenser les efforts fournis et spontanés des civils ? [...]
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