Chronique de la bataille de Verdun (1916)

Thèmes abordés

Bataille de Verdun, 1916, Première Guerre mondiale, Guerre de 14-18, Verdun, Allemands

Résumé du document

La Première Guerre mondiale éclate en aout 1914 et se termine par l'armistice le 11 novembre 1918. D'abord européenne, elle oppose par le jeu des alliances, des États de la Triple Entente aux Empires centraux et leurs alliés respectifs. Elle s'élargit progressivement à de grandes parties du monde.
Après une courte guerre de mouvement, le front se stabilise. A partir de 1915, les soldats s'enlisent dans les tranchées durant la longue guerre de position où les soldats s'enterrent dans les tranchées.
Le docteur Marcel Poisot commence son journal de guerre le 1er août 1914 et les 1400 pages manuscrites ont été retrouvées en 1986 et couvrent tout le conflit puisqu'il a participé à la bataille de Verdun, mais nous étudierons seulement un extrait qui se déroule du 25 février au 23 juin 1916 . Mais en réalité, elle dure de février à décembre 1916.
On peut se poser le questionnement suivant : Pourquoi la bataille de Verdun à telle une telle valeur de symbole ?

Extraits

[...] Cette bataille ne débute pas le 25 février comme peut le penser avec le repérage temporal de Poisot, mais elle à commencée depuis trois jours que les Allemands ont déclenché donc elle à étrenné le 21 février 1916 et s'éternisera durant dix long mois. Mais avant tout la victoire est loin d'être présente car seulement quelques jours après le début de ce combat avec l'attaque Allemande où il montre leur «grande offensive (L4). Puisque le fort de Douamont est pris par l'ennemi car c'est le dernier atout que l'Allemagne se décide à jouer (L2;3). [...]

[...] Car la bataille de Verdun , la plus longue et la effroyable de l'histoire universelle continue (L21;22) et est loin d'être finie, mais malgré tout nos poilus tiennent bon (L22). De plus les batailles sont plus longues et plus meurtrières Verdun cache bien des choses : dans leurs lettres, dans leur carnets ou dans leurs journaux intimes écrits dans la boue des tranchées, les soldats de 1916 peuvent avoir une autre façon d'évoquer le calvaire qu'ils ont endurés. On peut voir l'exemple d'un poilu du nom de Marcel Maréchal qui portait le matricule 4684 classe 12 et qui était un soldat de deuxième classe qui était agent liaison ; il participe à la guerre depuis son début c'est-à-dire depuis le 4 aout 1914 et dans l'une de ces lettres au front le 27 septembre que le temps est long et déprimant (L1 : Texte Complémentaire mais il a également participé à celle de Verdun où il détaillait se qu'il se passait ou qu'il exprimait ces peurs comme par exemple le 30 mars 1916 il dit Oh il faut bien l'avouer j'ai peur ! [...]

[...] En même temps les hommes pouvaient se reposer et il à mit en place une sorte de rotation des unités. Pourquoi autant de victimes et de mutilés ? A peine dix jours après le commencement le début de cette guerre on peut voir l'amplitude de l'utilisation des armes obus en quelques heures et 3 millions d'obus en quelques heures (L7). Nos ennemis ne nous laisse aucun répit en matière d'artillerie puisqu'ils reçoivent aussi les déluges d'acier, de liquide enflammés et de gaz asphyxiants (L22;23). [...]

[...] Mais aussi le 7 juin, il y aura la chute du fort de Vaux. Les ennemis n'abandonneront pas la partie (L33) car elle représente beaucoup pour eux ces une question de vie ou de mort (L34) Pour diriger les troupes Françaises, Pétain sera nommé par Joffre pour organiser la défense de Verdun car il a des qualités requises pour que les troupes aient plus de chance de survivre mais en même temps d'être victorieux. Durant ces six premiers mois qui se déroule du 21 février jusqu'au 23 juin il s'agit de la première phase de la guerre puisqu'elle est marquée par de grandes offensives allemandes. [...]

[...] Les problèmes encourues est que les combattant ne progresse que des sauts de puce ou des percées violente, Verdun est résumé,restreint, simplifié, enfermé par l'histoire officielle dans le double carcan d'un calendrier de 300 jours et d'un secteur restreint de 20 kilomètres carré pendant la seule année 1916 On peut donc dire que Verdun est une bataille de symbole car il s'agit d'une bataille ou les français affrontaient seuls l'ennemi par une terre ravagé par plus de 150 millions d'obus. La guerre des tranchées est une guerre d'usure. Durant la guerre de position, la bataille située sur le front occidental donc les batailles sont plus longues ; guerres technologiques et guerres industrielles avec des ravages matériels, mortalité de masse avec une expérience violente traumatisante. La violence de masse, franchissement d'un seuil d'animosité , Verdun est une bataille emblématique de la guerre des tranchées. [...]