ce cours parle de la société romaine et du réseau social de César.
[...] Proconsul en 78 pour lutter contre les pirates, mais rentre à Rome pour reprendre une vie politique 3[ème] paragraphe : accuse le consule Cornelius de corruption, mais échoue et va suivre les cours de rhétorique à Rhodes. Au II siècle, l'élite romaine s'hellénise, découvre la culture classique grecque et les rapatrie à Rome, mais ont refusés le mode d'éducation à la grecque. 4[ème] paragraphe : César était prisonnier des pirates. Mithridate, roi du Pont menace les possessions romaines d'Asie. Rome entre en guerre 88-84, 83-81 et en 74, une 3ème guerre qui est dirigée par Lucullus. [...]
[...] et il est patricien (familles qui font partie du sénat de l'époque royale, occupent toutes les charges politiques jusqu'au IV siècle, la justification de cette prééminence politique est religieuse car ces familles détiennent l'auspicium). La notion de famille patricienne pour l'attribution de charges religieuses (ex : flamines, vestales ne peuvent être que patriciens). La société romaine s'est unifiée mais a gardé la trace de l'opposition entre patricien et plébéien. A l'époque de César, sa famille n'est pas très connue ni très riche. [...]
[...] Cette opposition entre les tribuns « populaires » et l'élite structure la société romaine jusqu'à la fin de la République. Le Sénat a recours à des coups de force qui vont se multiplier. Cette période marque le début de la violence politique comme mode d'action au détriment des jeux d'institutions. Le père de César avait une sœur Julia, une patricienne qui a épousé Caius Marius un plébéien italien fortuné, né en Italie (Arpinum), cité qui a reçu la citoyenneté en 188 av J.C. [...]
[...] Marcus Minucius Thermus, patricien auprès de qui César va faire ses premières armes. Publius Servilius Isauricus, plébéien et consule sous les ordres duquel César va servir. Ces gens font partie des optimates les meilleurs de citoyens), une faction conservatrice qui s'est constituée en 133 av J.C. au moment de la crise des Graches, où Tiberius Grachus propose une réforme agraire. Depuis cette année, la société romaine est divisée en 2 factions : optimates (conservateurs) et populares (réformateurs qui pensent qu'il faut des réformes sociales, donner des terres à ceux qui n'ont pas, abolition des dettes, donner la citoyenneté aux italiens, offrir des distributions à prix réduit de blé pour les plus pauvres). [...]
[...] Toute sa carrière politique est construite sur le discours antinobiliaire. Il a été 6 fois consule en 107 puis réélu de 105 à 100, pendant la guerre du roi Jugurta (Numidie vs Rome) puis pendant les Germains au Sud de la Gaule. Au cours de ces périodes il a introduit dans l'armée des volontaires pauvres avec l'idée que l'armée peut être une profession, un moyen de s'enrichir. En 100 il y a une révolution à Rome, Saturnimus (tribun de la plèbe) fait voter des lois agraires et frumentaires, et le Senat vote un Senatus consulte ultime, donne le pouvoir ultime au consul pour mettre fin aux désordres. [...]
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