IIIe reich, Hitler, chute du IIIe reich, nazisme, Empire, Napoléon Bonaparte, guerre, Seconde guerre mondiale
Comment le IIIe Reich s'est-il effondré ? Quelles ont pu être les dynamiques de cette chute ? Était-elle inéluctable ?
[...] Entre 1939 et 1942, les apparences sont trompeuses comme peuvent l'être les apparences entre 1804 et 1811. La défaite de ses deux régimes germe déjà dans leur semblant hégémonique. La défaite se fomente déjà dans le beau terrain des victoires successives. Pour conclure, le régime nazi peut se voir comme un régime qui ne serait pas une alternative mais juste une opposition qui mobilise tous les moyens en sa disposition pour imposer temporairement sa loi et rien de plus. Les buts de guerre n'étant pas bien identifiés ainsi que les volontés à donner à la suite de la guerre mal préparées. [...]
[...] Les causes de la chute du IIIe REICH (1945) Comment le IIIe Reich s'est-il effondré ? Quelles ont pu être les dynamiques de cette chute ? Était-elle inéluctable ? SOMMAIRE : Les défaites s'expliquent par un modèle proposé qui serait à contrecourant. Les défaites des empires s'expliquent par le fait qu'ils ne représentent que des parenthèses dans l'Histoire. Avancer par la guerre c'est avancer artificiellement, agir avec force est en soi un mauvais départ. Préambule : On peut voir le IIIe REICH comme un régime en retard. [...]
[...] Cependant, les courants mondiaux lui sont contraires et il ne s'inscrit pas dans le courant de l'Histoire. De plus, on peut dire que le régime nazi n'est une négation, il n'est pas constructif ce qui l'empêche de voir les choses sur le long terme. Les défaites des empires s'expliquent par le fait qu'ils ne représentent que des parenthèses dans l'Histoire. Ce qui est frappant entre les différents empires qui ont pesé dans le monde c'est qu'ils n'ont pas été capables de durer. [...]
[...] L'explication d'une parenthèse historique peut venir en appui de notre compréhension du sujet. A chaque fois, on peut voir que les parenthèses historiques sont permises par des armées de conquêtes qui imposent le modèle du chef (Napoléon d'un côté et Hitler de l'autre). Avancer par la guerre c'est avancer artificiellement, agir en force est en soi un mauvais départ. Imposer par les conquêtes même au nom du bien et des droits de l'Homme comme ce que fut la volonté en partie de Napoléon ne porte pas ses fruits. [...]
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