La Seconde Guerre mondiale constitue le conflit armé le plus vaste que l'humanité ait connu à l'échelle mondiale de septembre 1939 à septembre 1945. Durant celle-ci, 60 millions de morts furent déplorés, soit la population française actuelle. C'est un des plus grands génocides que le monde entier ait connu, le principal responsable étant le chef nazi Adolph Hitler (20 avril 1889-30 avril 1945) qui était à ce moment à la tête de l'Allemagne.
Adolf Hitler, était un homme politique allemand, qui fut à l'origine du mouvement antisémite et racistes envers les handicapés, les tziganes ou encore les homosexuels.
Aujourd'hui, l'extermination par l'Allemagne nazie de plus de 40% de la population juive dans les camps est appelée la Shoah. Un des grands camps ayant participé à cette extermination est celui d'Auschwitz-Birkenau (...)
[...] Les seuls moments de contact qu'ils avaient entre eux était quand ils se bousculaient quand ceux-ci voulaient obtenir un peu de nourriture. Selon Simone Veil, »seuls les plus forts pouvaient s'en sortir Aucune intimité n'était possible notamment à cause de l'idée de pacquage qui consistait à faire dormir 3 Hommes par couchette. Dans tous ses exemples, on remarque un point commun qu'est Auschwitz est la description d'une entreprise d'une déshumanisation. Pour résumer tout ceci, on peut prendre une citation de Primo Levi qu'est L'instinct de survie si il n'existe pas entraine à la mort Dans ce camp la vie se résumait à une seule et unique chose: le travail ! [...]
[...] Rien n'était fait pareil, c'était au bon vouloir de chaque S.S. Y avait-il des traitements de faveur de la part des S.S envers d'autres détenus ? Il y avait un traitement de faveur en faveur des Kapos. Qu'était un Kapos ? Un Kapos c'était un déporté qui avait été nommé Kapos. La plupart du temps, les Kapos étaient nommés par les S.S. Ils prenaient souvent les droits communs, les droits communs étaient ceux qui avaient un triangle vert. Qu'est ce qui vous a permis de survivre ? [...]
[...] Ce surdos de travail était comparable à l'esclavage, le but étant d'épuiser les Hommes et de les amener à la mort. Cela fait référence à l'image du maître tout puissant et de l'esclave, le maître étant celui qui décide du sort de l'esclave: soit la vie, soit la mort. Que ce soit le four crématoire ou la chambre à gaz, aucuns des deux n'étaient à portée de vus des déportés . Seul l'odeur des corps brûlés pouvaient laissés supposer l'existence de ces deux bâtiments. [...]
[...] Depuis 1974, je suis une femme politique française. Une de mes plus grandes réformes fut l'adoption de la loi Veil en décembre 1974 autorisant l'avortement en France. Mais avant cette carrière en politique, je fus amené à côtoyer l'horreur que fut la déportation des juifs à Auschwitz lors de la seconde Guerre Mondiale. Je suis une miraculée car peu de juifs ont survécu à la Shoah qui fut une des plus grandes exterminations de juifs. Depuis novembre 2008, je suis membre de l'Académie française. [...]
[...] Comment avez-vous vécu l'après Auschwitz ? Après Auschwitz, comme j'ai eu besoin de vivre puisque je suis rentré en France en 1945, à l'époque il fallait s'accrocher pour vivre donc j'ai essayé par tous les moyens de continuer à vivre en faisant des affaires. La vie toujours en cherchant à m'accrocher à la vie . Avez-vous revu des survivants de ce camp dit ? Oui, j'ai revu un garçon qui avait été arrêté avec moi à Lyon qui était dans le même groupe que moi «Les Francs Tireurs Partisans Français>>. [...]
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