Youssouf ibn Ayyoub, Salah el-Din, château de Saône, Islam, djihad, calife Al-'Adid, Égypte, Syrie, Umma, Reconquista, Guy de Lusignan
Youssouf ibn Ayyoub, dit Salah el-Din, naît en 1138 à Tikrit dans un Orient profondément divisé entre les vestiges de l'ancien empire arabe, les domaines dominés par les Trucs envahisseurs installés depuis la première moitié du XIIe siècle en Asie centrale et les autres tribus, populations berbères et indigènes qui étaient plus ou moins soumises au pouvoir central qui, depuis le XIe siècle échappait aux Arabes au bénéfice des populations islamisées du Maghreb.
[...] À l'origine de ce mouvement, une ONG qui s'est donné pour mission de « désamorcer les tensions communautaires et l'extrémisme sous toutes ses formes ». Plusieurs membres de l'ONG se sont alors mis en scène face caméra avec une pancarte barrée du mot-dièse.[8] L'islam pourrait trouver son unité en elle-même, puisque l'islam une foi, une philosophie, une cosmogonie, un culte, et une manière de L'islam c'est la Umma qui est ensemble de personnes qui prennent la même direction, une communauté de croyants »[10] et l'islam n'est qu'un, puisque, de toutes ses branches, sectes et doctrines différentes, certaines choses fondamentales restent les mêmes telles que le mois du ramadan qui est le même pour tous. [...]
[...] http://www.lejdd.fr/International/Notinmyname-la-reponse-des-musulmans- a-l-Etat-Islamique-689614 BOULARES Habib, Islam: the fear and hopes, Ed. Zed "Islam is a faith, an ethos, a cosmogony, a cult, and a way of life" BOULARES Habib, Islam: the fear and hopes, Ed. Zed "The Umma is the totality of persons who take the same direction, a community of belivers." BIDAR Abdennour, lettre ouverte au monde musulman, Éd. LLL p.11 BIDAR Abdennour, lettre ouverte au monde musulman, Éd. [...]
[...] La religion a tout autant sa place, si ce n'est plus pour s'approcher de l'unité. II - La guerre pour rassembler les croyants Alors que la guerre ne fait que diviser les hommes sur tous les plans, la religion, elle, se veut rassembleuse et peut en assumer le rôle comme l'expose le terme même de la communauté des croyants, sans frontière et sans dessein d'expansion obligatoire. Salâh al-Din signifie « rectitude de la religion ». Il voulut en effet marquer son règne sous le signe de la restauration de l'Islam et plus particulièrement du sunnisme. [...]
[...] Roi pieux aux dires de ses biographes contemporains, il faisait preuve d'une certaine rigueur morale, souhaitant inspirer son peuple à une même conduite. Il s'acquittait des ramadans manqués faute de guerre, attachait une grande importance aux cinq prières quotidiennes, se plongeait dans de longues séances de lecture du Coran, suivait l'enseignement des oulémas alexandrins et après la prise de Damas, son premier geste fut d'aller prier à la mosquée des Omeyyades. De surcroît, il fit se multiplier les madrasas dans l'idée de rassembler son peuple par le culte. [...]
[...] Or, il n'en est rien, l'Islam est universel à tous les croyants musulmans, de même que le rôle unique des Arabes n'est pas suffisant pour expliquer l'expansion de la religion de Muhammed dans l'espace et dans le temps.[7] Une unité par la religion en elle-même apparaît alors comme à double tranchant, où l'extrémisme peut mener à un presque nationalisme violent. Pourtant, en s'inspirant des idées de Saladin, et du Coran même, l'Islam est capable de trouver en elle-même son unité, unité qu'elle cherche encore aujourd'hui. III - Unité par le djihad ou unité par la religion L'histoire de Salâh al-Din a toujours aujourd'hui un indéniable écho. [...]
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