Cours d'Histoire (niveau Bac +3) relatif à la France de la Belle Epoque traitant de la situation économique et industrielle de la France avant la 1ère Guerre mondiale.
[...] On trouve également les régions industrielles et les centres financiers. Inversement, la France de l'ouest et du sud ouest apparait moins avancée d'un point de vue agricole, moins industrialisée car en effet, sur les 30 départements qui dépassent le taux moyen de population active industrielle c'est-à-dire seul se situe à l'ouest, il s'agit du département de la Gironde. Cette situation est corroborée par la situation des réseaux ferroviaires. Trois compagnies de chemins de fers réalisent les excédents où sont en situation d'équilibre : le nord, l'est, et la compagnie paris Lyon méditerranée. [...]
[...] La bourse de paris assure en de l'activité boursière nationale. Le département de la seine c'est-à-dire paris intra muros concentre à la veille de la première guerre mondiale 1,1 millions d'emplois c'est-à-dire 1/6 de l'emploi industriel nationale. Surtout, al banlieue parisienne a attirée la quasi-totalité des activités nouvelle notamment l'aéronautique. Sur 94 entreprises aéronautiques en France sont situées en banlieues parisienne. Trois autres régions sont comparables aux grande régions industrielles européennes avec des spécialisations héritées de la première industrialisation (le textile, le charbon la métallurgie) : la région Lyon aise avec son annexe Grenoble spécialisée dans l'électrométallurgie et l'électrochimie et 3e région française : l'est de la France, notamment la Loraine restée française. [...]
[...] Et surtout, la France exporte 20 fois moins de locomotives que l'Allemagne. Facteur explicatif de ce manque de spécialisation : la grande dépression, et à la stagnation de l'économie française. La France est le 2e exportateur mondiale de Pepito, elle assure des investissements à l'étranger c'est à dire moitié moins que l'Angleterre mais le double de l'Allemagne mais surtout, les IDE français sont des investissements de porte feuille qui n'implique aucun contrôle des entreprises qui n'implique aucune prise de risque et qui confirme l'image d'un capitalisme de rentier. [...]
[...] Et puis surtout, on assiste à une modification des bases de la croissance a partir de la fin du 19e siècle, se sont les investissements industriels ou investissement d'outillage qui jouent un rôle moteur. Ces investissements progressent de par an. Enfin et surtout, les axes de la croissance se modifient : le moteur à explosion et l'électricité remplace les chemins de fer. Les investissements ferroviaires ne jouent plus le rôle de moteur de croissance. Les industries qui viennent en tète de toute les industries sont les industries métallurgiques et des activités liés avec un taux de croissance de la production de 6 à par an. [...]
[...] La France reste le premier constructeur mondiale jusqu'en 1907 et en 1913, la France est le deuxième producteur mondiale et premier exportateur. Souvent, les entreprises spécialisées dans la construction automobile ont pour origine la reconvention de firmes existantes. Quelques exemples en témoignent : Peugeot, en 1896, a débuté par la fabrication d'objets métalliques, puis ensuite les vélos et enfin l'automobile. L'automobile est à l'origine un monde de petits ateliers, un monde secoué par des crises violentes mais un monde constamment renouvelé par l'arrivée de nouveaux constructeurs. [...]
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