"Les Hommes naissent et demeurent libres et égaux en Droits". Il est écrit dans la Déclaration des droits de l'Homme et du citoyen que tout homme est l'égal de son prochain devant la loi. Durant l'Ancien Régime, certains ordres se trouvaient privilégiés par rapport à d'autres dès leur naissance, notamment la Noblesse devant le Tiers Etat, et cela pas seulement économiquement, mais bien devant la loi (...)
[...] De Nouvelles Bases pour une Organisation Sociale et Politique après la Révolution en France Au XVIIIeme siècle, la France se trouve sous l'Ancien Régime. Le Roi a tous les pouvoirs (exécutif, législatif et judiciaire) et le peuple français est partagé en trois ordres : La Noblesse, le Clergé et le Tiers-État (il s'agit donc d'une monarchie Absolue). En 1789, les Français se révoltent et l'Assemblée Nationale rédige La Déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen qui énonce les droits et libertés de chacun. [...]
[...] Le peuple n'avait donc pas de liberté d'opinion, et ne pouvait pas pratiquer sa religion ouvertement, donc risquait la prison. II Les Principes Politiques Les principes Politiques de la Démocratie ont été également énoncés dans la Déclaration des droits de l'Homme et du citoyen. Le but de toute association politique est la conservation des droits naturels et imprescriptibles de l'homme Chaque régime politique d'après la Déclaration se doit donc de respecter les droits énoncés ci-dessus : l'égalité et la liberté dès la naissance. [...]
[...] La Loi est l'expression de la volonté générale La loi doit donc être votée par les Citoyens, ou du moins leurs représentants élus. Ce qui n'était pas le cas durant le XVIIIème siècle. Le Roi avait le pouvoir d'imposer une nouvelle loi, bien qu'il fût limité par les Parlements qui avaient le droit de remontrance. Le peuple n'avait pas son mot à dire sur cela, et ainsi que sur les impôts bien qu'il faille l'autorisation des Etats Généraux. La déclaration des Droits de L'Homme et du Citoyen énonce donc des principes et droits contraires ou non-présents durant l'Ancien Régime. [...]
[...] Durant l'Ancien Régime, le peuple n'avait pas le droit de publier des journaux en exprimant son opinion si celle ci était différente de celle du gouvernement, donc du Roi. Les auteurs de ces papiers encouraient une peine de prison (sans être jugés au préalable) ou étaient simplement censurés. Les réunions pour motifs non-approuvés par les autorités étaient également proscrites. Nul ne doit être inquiété pour ses opinions, même religieuses C'est la liberté d'opinion qui est ici quottée. Elle rejoint un peu la liberté d'Expression, mais elle touche aussi la liberté de choisir sa religion. [...]
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