Dès 1945, les métropoles doivent faire face à un irrésistible mouvement de décolonisation. Toutes les colonies dont l'Algérie désirent l'accès à une indépendance pour ainsi espérer un changement dans les relations internationales. L'Algérie reconnue comme un département français revendique son indépendance auprès de sa métropole mais cette dernière n'est pas du même avis. C'est ainsi qu'en 1954, les « événements d'Algérie » éclatent pour se terminer en 1962 laissant derrière eux de nombreuses victimes (...)
[...] Le travail pour retrouver la mémoire de cette guerre n'est donc pas finit. Conclusion : Le processus de décolonisation débuté à la fin de la Seconde guerre mondiale a mis un terme à la domination des Européens. En Afrique, l'accession des pays colonisés à l'indépendance a débouché sur l'émergence du Tiers-Monde. Quant à la guerre d'Algérie, elle est restée un traumatisme moral et psychologique pour les deux pays. Elle est célèbre pour les multiples pratiques de violences entretenues de part et d'autre, et longtemps niées des mémoires officielles. [...]
[...] Ils dirigeaient une grosse partie de l'industrie du pays. L'Algérie doit notamment faire face au départ des harkis qui collaboraient avec les Européens en profitant de leur présence. Le FLN ( Front de libération nationale ) les considéraient comme des traîtres alors ils ont fuit après l'indépendance vers la métropole. C'est ainsi qu'on dénombre un exode de pieds-noirs et de harkis. Aujourd'hui, les nouvelles générations se battent pour se réapproprier la mémoire de la guerre d'Algérie et pour savoir ce qui s'est réellement passé. [...]
[...] Pourquoi le souvenir de la guerre d'Algérie est-il toujours aussi vif ? Introduction : Dès 1945, les métropoles doivent faire face à un irrésistible mouvement de décolonisation. Toutes les colonies dont l'Algérie désirent l'accès à une indépendance pour ainsi espérer un changement dans les relations internationales. L'Algérie reconnue comme un département français revendique son indépendance auprès de sa métropole mais cette dernière n'est pas du même avis. C'est ainsi qu'en 1954, les événements d'Algérie éclatent pour se terminer en 1962 laissant derrière eux de nombreuses victimes. [...]
[...] La France a longtemps cru devoir pratiquer une politique de l'oubli, contrastant avec la politique de la mémoire réservée aux deux Guerres mondiales. L'idée de commémorer la guerre d'Algérie est devenue actualité mais les milieux politiques n'ont pas encore réussi à se mettre d'accord sur le choix d'une date commémorative ni sur le message constructif transmis aux générations futures. Cette volonté de se remémorer sans cesse l'histoire de l'Algérie envahit l'espace public. Différents facteurs relancent la guerre des mémoires. Tout d'abord, il est important de préciser que la France dénombre une grande partie de la population algérienne. [...]
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