La Révolution Industrielle fait son apparition dans la première moitié du XIXe siècle avec l'invention de la machine à vapeur par James Watt au Royaume-Uni. Elle s'étend ensuite en Europe du Nord-Ouest et traverse l'Atlantique, les État-Unis devenant bientôt la première puissance industrielle mondiale. De nombreuses usines apparaissent et le besoin des entreprises de faire des profits et d'augmenter la productivité devient de plus en plus important. Les productions augmentent alors : c'est la croissance. Mais la Révolution Industrielle s'essouffle aussi et connaît des périodes de crises.
Quels sont les fondements et les limites de la Révolution Industrielle ?
Pour répondre à cette question, nous étudierons d'abord les fondements de la Révolution Industrielle. Puis dans un deuxième temps nous aborderons ses limites (...)
[...] Les Etats Unis sont avec l'Europe du Nord Ouest les régions du monde les plus industrialisées. Le Japon a commencé sa Révolution Industrielle très tard ( fin du XXe siècle). Il rattrape d'un seul coup la France. Le reste du monde ne connaît pas la Révolution Industrielle. Ensuite, les conditions des ouvriers sont déplorables. On constate l'absence de protection sociale. Les ouvriers enchaînent de longues journées, ils ont peu de congés et, souvent, leur salaire est bas. Leur consommation est donc limitée. Puis, les crises sont nombreuses. Elles arrivent en général tous les vingt ans. [...]
[...] Par conséquent, les ouvriers réalisent un travail de qualité car de nombreuses personnes, attirées par le salaire, veulent avoir un poste dans les usines de Ford. De plus, avec ce bon salaire, les ouvriers se transforment en clients de l'entreprise. Les Révolutions Industrielles connaissent aussi des limites. Tout d'abord, la croissance industrielle est loin d'être un phénomène universel. Vers 1830 en Europe, seul le Royaume-Uni et le Nord-Ouest du continent (la France, l'Allemagne, la Belgique ) sont industrialisés. L'Europe méditerranéenne est sous-industrialisée. [...]
[...] Dissertation - Histoire La croissance industrielle du XIXe et du début du XXe, ses fondements, ses limites. La Révolution Industrielle fait son apparition dans la première moitié du XIXe siècle avec l'invention de la machine à vapeur par James Watt au Royaume-Uni. Elle s'étend ensuite en Europe du Nord-Ouest et traverse l'Atlantique, les État-Unis devenant bientôt la première puissance industrielle mondiale. De nombreuses usines apparaissent et le besoin des entreprises de faire des profits et d'augmenter la productivité devient de plus en plus important. [...]
[...] La crise de 1929 est une crise de superproduction, de saturation des marchés. Elle est révélée par le krach de Wall Street. Les banques qui ont investies en bourse sont ruinées. Les entreprises sont privées de trésorerie et ferment. Le chômage augmente. Les pays, pour éviter ces crises, mettent en place des politiques de protectionnisme, c'est-à-dire qu'ils ferment leurs frontières pour protéger les entreprises de la concurrence étrangère. Mais cette solution ne fait qu'aggraver la crise car les entreprises perdent des parts de marché. [...]
[...] Pour s'agrandir et s'enrichir, elles peuvent absorber d'autres entreprises soit verticalement (elles achètent alors des entreprises qui possèdent un autres secteur d'activité), soit horizontalement (elles achètent alors des entreprises qui possèdent le même secteur d'activité). Pour augmenter la productivité, les entreprises construisent aussi de grandes usines et embauchent de nombreux ouvriers. La deuxième Révolution Industrielle repose sur le pétrole, l'électricité et l'automobile. Les usines fonctionnent comme lors de la première Révolution Industrielle, les profits et la productivité restent un objectif essentiels pour les entreprises. [...]
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