La Troisième République a connu une naissance difficile. Elle est née d'une guerre déclarée par la France impériale, celle de Napoléon III à la Prusse. Cette guerre va être soutenue par le corps législatif (plus tard elle sera appelée Assemblée Nationale). En mai 1870, l'empire a fait un plébiscite pour ratifier cette constitution aux parlementaires : c'est un succès. Ce corps législatif va accepter la guerre contre la Russie. Les Français pensaient remporter cette guerre, mais le 4 septembre 1870, on apprend à Paris de façon officielle que l'empereur Napoléon III a capitulé à Sedan et qu'il s'est rendu à Guillaume Ier. Pour la France c'est un choc, les armées allemandes vont avancer très vite, le quart nord du pays est occupé (...)
[...] Les versailliens sont hors de la capitale mais bien organisés. Bismarck va libérer les français. A l'intérieur de la capitale, les communards sont assez diffusés. Les versailliens vont entrés dans l'ouest de Paris. Dans la semaine du 21 mai sera appelé la semaine sanglante. Pour retarder cette ascension les communards vont incendier l'hôtel de ville. Les femmes aussi sont en combat, il a des otages de chaque cotés. Résultat : Les versailliens ont perdu 1200 hommes. Les communards ont perdu plus de hommes. [...]
[...] Des élections sont donc organisées. Les français sont appelés à voter. Les français votent pour la paix, donc pour le candidat qui soutenait la paix. Se sont les royalistes (orléaniste ou légitimiste), et les conservateurs avec quelques républicains modérés. Ce sont les républicains et les républicains modérés qui étaient pour la guerre à outrance. Dans ce nouveau gouvernement, on aura trente bonapartistes et deux-cent républicains, quatre-cent monarchistes. Cette paix va être signée avec l'Allemagne, elle est signée grâce à Thiers qui a été désigné par l'Assemblée nationale comme chef du pouvoir exécutif de la république française. [...]
[...] Cela représente un quart de la population ouvrière de la capitale. Il y a aussi des milliers de condamnation à la déportation au bagne en Nouvelle Calédonie. Le mouvement ouvrier français est complément décapité. La commune est également la dernière insurrection parisienne, le fait d'avoir décapité la commune montre que la république est capable de rétablir l'ordre et qu'elle n'est pas seulement un état d'insurrection permanente. [...]
[...] Les monarchistes sont donc prés à rétablir la royauté après la guerre. Thiers signe donc la paix : - Perte de l'Alsace et de la Lorraine ; - La France doit verser une indemnité de cinq milliards de francs or tant que cette indemnité n'est pas versée, les troupes restent en France. C'est pour éviter que la France ne refasse pas une guerre de revanche ; - En échange de la ville de Belfort, les allemands on le droit de défiler à Paris le 1e mars 1871. [...]
[...] Le droit au travail est inscrit dans la constitution de 1946 : toute personne qui a dépassé un certain âge légal peut travailler contre rémunération et surtout si cette personne est au chômage, elle peut demander une indemnisé. La commune est donc en avance. Elle réclame aussi un programme scolaire, avec une école laïque, gratuite et obligatoire, sur le plan politique, il réclame une démocratie directe. Démocratie directe : même s'il on élit des délégués, ils doivent appliquer à la lettre les choses promises, ils n'ont aucunes marges de main-œuvre concernent des circonstances imprévues. [...]
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