Unité allemande, unité italienne, Prusse, Piémont, unification
L'Allemagne et l'Italie sont, début du XIXe, des nations éparpillées :
- Les peuples allemands sont divisés en 39 états distincts. ( Autriche, Royaume de Prusse, royaume de Hanovre, Saxe, Bavière, Wurtemberg, 29 grands duchés et principautés et 4 villes libres (Lübeck, Francfort, Brême et Hambourg). Certes ils s'intègrent tous dans une « confédération germanique », mais celle ci n'a aucun pouvoir, et les place en pratique sous la domination Autrichienne. Notez que le royaume allemand le plus puissant est la Prusse (le plus étendu, le plus peuplé, le plus puissant économiquement, mais divisé en deux parties).
- L'Italie est quant à elle une « expression géographique » (l'expression est de Metternich), dont les habitants sont réparties en une dizaine de territoire différents, certains étant sous domination autrichienne.
[...] Les armées autrichiennes ne sont pas imbattables. 1ère instrumentalisation, guerre duchés : 1864 des duchés peuplé d'all mais rattaché au roi du Danemark en 64 roi D meurt Bismarck persuade Autriche de se lancer dans une guerre pour récupérer les duchés (dont les popu sont favo au rattachement à la confédération) guerre rapide et victoire; duchés sont cédés conjointement à l'Aut et à la Prusse, double adm° Mais Autriche s'occupe peu de ces territoire si lointains Bism en profite pour envahir les duchés (après s'être assuré de la neutralité fr, anglaise et russe) guerre Prusse/ Aut Défaite aut de Sadowa le 3 juillet 66 Paix de Prague qui donne les duchés à la Prusse ainsi que le territoire au coeur de la Prusse Le traité impose aussi la dissolution conf germanique élimination de l'autriche. [...]
[...] L'opposition entre B et le mouvement libéral portait essentiellement sur le rôle donné à la Prusse dans l'état all à construire. Mais la collaboration était réelle pour la lutte vers l'unification Aussi, dans les deux cas, le moteur de l'évolution fut aussi une élite de bourgeois et de nobles. C'est en son sein que se diffusent les idées nationales. Elle qui constitue les deux société sus nommés. Société Nationale et Deutsche Nationalverein: ont la même composition sociale La cotisation interdisait l'adhésion des classes les plus populaire. [...]
[...] C'est le cas du royaume de Piémont pour l'Italie et de la Prusse pour l'All. Tout deux se préparent : - se modernisent économiquement (infrastructure ferroviaire, industrie . A noter que la Prusse réussit mieux en ce domaine -se modernisent politiquement en adoptant des constitution plus libérales (ce qui va leur rallier les élites libérales de 48) se donnent les moyens d'une mobilisation morale autour de leur cause, crée des société de propagande pour diffuser leurs idées dans l'ensemble des états concernés. [...]
[...] Les frontières doivent être celles des peuples et non plus celles des monarques. A cela s'ajoute des aspirations populaires à l'unité, puissantes, dans les pays. Rappelons la fièvre italienne autour des opéras de Verdi. Pour diffuser les thèmes patriotiques, le théâtre lyrique se révèle un excellent vecteur. Nabucco 1ère oeuvre patriotique (1842) : captivité du peuple hébreu sous le joug de Babylone (1842). le choeur des Hébreu au IIIème acte va devenir, par la suite, l'hymne à la Liberté des Italiens. La représentation s'achève au cris de Liberté pour l'Italie. [...]
[...] Le Reich allemand a sa constitution. C'est la solution de la petite Allemagne qui a triomphé. Le parlement propose au roi de Prusse, FGIV de devenir le premier empereur allemand. Mais toutes ses tentatives sont des échecs. Comme on l'a vu, le printemps 48 voit se dissiper les espoirs unitaires : le rêve alld s'est brisé sur le refus dédaigneux de Fred Guill IV ; le rêve italien s'est dissipé dans la défaite militaire. Pourquoi : FGIV refuse parce que la constitution du Reich allemand était d'inspiration libérale et limitait les pouvoirs de l'empereur, en reconnaissant la souv nationale. [...]
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