Démocraties populaires, communisme, contestations, modèle soviétique, Staline
Après la 2nde Guerre Mondiale, dans la plupart des pays d'Europe centrale et orientale, des régimes communistes s'installent et sont intégrés dans la sphère soviétique. Ils sont devenus des démocraties populaires et ont en réalité perdu leur indépendance car leur politique (intérieure & extérieure) est soumise au choix de l'URSS = "le grand frère".
Malgré la mise en place des régimes autoritaires, des organisations, des dissidents contestent la domination du parti unique et réclament plus de liberté. Les dirigeants cherchent à adapter leur politique à la situation internationale et empruntent alors des voies différentes sans remettre en cause le communisme.
[...] Le temps des démocraties populaires (45-89) Introduction: Après la 2nde Guerre Mondiale, dans la plupart des pays d'Europe centrale et orientale, des régimes communistes s'installent et sont intégrés dans la sphère soviétique. Ils sont devenus des démocraties populaires et ont en réalité perdu leur indépendance car leur politique (intérieure&extérieure) est soumise au choix de l'URSS = "le grand frère". Malgré la mise en place des régimes autoritaires, des organisations, des dissidents contestent la domination du parti unique et réclament plus de liberté. [...]
[...] L'alignement sur le modèle soviétique Toutes ces démocraties populaires adoptent le modèle soviétique: c'est la Stalinisation. L'URSS se justifie par le contexte international et donc la politique "impérialiste" de l'Occident. Staline veut constituer un bloc contre ce qu'il considère comme une menace (glacis défensif comme il dit à Yalta). 1)Sur le plan politique C'est comme en URSS un régime à parti unique (communiste) incarné par le secrétaire général qui s'y impose. La mise en place du Kominform en 47 renforce le contrôle soviétique. [...]
[...] Cette situation sert alors de prétexte pour une épuration sévère par Staline parmis tous les dirigeants des démocraties populaires (accusés de Titisme" en référence à Tito) avec des procès truqués et des condamnations à mort (Slausky, Rajk . ) de ces hommes qui avaient participé à la mise en place de ce système dont ils se retrouvent alors victimes. (Epuration touche 25% des effectifs). NB: au début "démocratie populaire" était un intermédiaire entre la démocratie libérale et le régime communiste à parti unique, mais très vite il perd son sens originel et signifie alors régime autoritaire, sinon totalitaire. [...]
[...] Walesa à la tête de Solidarnos, prend le pouvoir. En Hongrie, des élections donnent la victoire aux opposants et le rideau de fer est ouvert le 2 mai 89 entre la Hongrie et l'Autriche (première étape vers la chute du mur de berlin puisque permet la nombreuse migration de l'est à l'ouest). En RDA: la fuite de ces très nombreux allemands exprime le réel mécontentement de ceux-ci très médiatisé. Le gouvernement ne bouge cependant pas et à l'automne le mécontentement s'accroit, les manif' se multiplient pour faire pression sur les autorités afin d'obtenir le respect des libertés. [...]
[...] Intéret est de développer l'économie et calmer l'esprit de révolte. Déclin de la censure (certains ouvrages éco sont autorisés). * Tchéquoslovaquie: Dubcek prend la tête d'un gouvernement réformiste et tente de construire le "socialisme à visage humain" = remise en cause du système avec un retour au pluralisme, suppression de la censure, liberté de réunion et plus d'autonomie au entreprises = printemps de Prague. Mais en aout les troupes soviétiques interviennent, Ducek est arrêté, la presse censurée = Normalisation. On appelle ça le printemps de Prague. [...]
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