Seconde Guerre mondiale, guerre d'Espagne, Espagne républicaine, front populaire, FRANCO, PSOE, Staline, guerre civile espagnole, MOLA, camp nationaliste, NEGRINE, BLUM, URSS, cours
Opposition entre un dégradé de force. Gros problème pour les démocraties occidentales, les démocraties occidentales sont embêtées et ne savent pas quelle position adopter. On a également l'idée d'une configuration du conflit à venir. Figure de l'engagé et de l'engagement des intellectuels du côté des brigades internationales. Il se trouve que l'Espagne qui était un peu à l'écart, se trouve être au coeur des problématiques européennes.
[...] Le 7 mars 1939, c'est la fin de la guerre civile. On estime environ morts. Un événement international L'URSS n'a pas hésité à s'engager dans le conflit pour soutenir le camp républicain, l'idée étant que le nazisme commence à faire peur et l'URSS va envoyer une forte aide matérielle au camp républicain. En revanche ceux qui vont hésiter sur leur positionnement est le FP français qui est extrêmement jeune. Dès le 18 juillet, il doit se prononcer sur le conflit espagnol, ce qui pose de gros problèmes à BLUM. [...]
[...] L'armée espagnole fait partie des revendications des soldes et on voit que les troupes les plus expérimentées vont l'emporter dans ce pouvoir. Les troupes sont celles du Maroc. En 1923, à lieu un coup d'État militaire de PRIMO DE RIVERA, va mener le pays dans une phase de modernisation technique avec la construction d'un réseau routier, téléphonique et puis les révoltes marocaines vont être diminuées avec la guerre du Rif. Ses appuis vont s'effondrer et va laisser le pouvoir en 1930. On aura ensuite deux chefs militaires peu importants et l'Espagne va basculer de façon rapide à un régime républicain. [...]
[...] Guernica le 26 avril 1937, est rasée et ce bombardement implique aussi les Allemands. C'est le premier bombardement aérien qui rase une ville entière. On a une innovation de la violence rapide. Le camp nationaliste va voir sa tête changer à la suite de mort : MOLA en 1937 en avion. FRANCO va alors s'imposer en été 1937. Il a été extrêmement efficace et à partir d'octobre 1936, il va se retrouver chef du gouvernement socialiste et va s'installer à Burgos à côté de Madrid. [...]
[...] On a donc une montée des tensions et l'Espagne ne fait pas exception, entre les extrêmes et des rumeurs de coups d'État. Le climat est très tendu. On va sortir de cette situation de tension par un nouvel espoir Le front populaire Ce front est constitué de différents mouvements. Dans le FP espagnol, il n'est pas pareil d'être dedans ou d'être un soutien. Chez les Espagnols, le PSOE, le parti communiste, le syndicat marxiste et le POUN qui est le parti marxiste non stalinien, puis les républicains de gauche. C'est une chose large avec des dialogues compliqués. [...]
[...] Dans le franquisme, des éléments du fascisme : la place du chef, Franco, parti unique, corporatisme, autoritarisme, censure, réduction des libertés et des droits fondamentaux. Mais différence : place de l'église, régime très lié à la défense conservatrice de l'église traditionnelle. Franquisme pas porteur de l'idée de l'homme nouveau. Au Portugal, régime dirigé par Salazar. Organe des phalanges, organe paramilitaire, semble porter la violence au titre du parti. En fait, phalangistes vite écartés par Franco, n'appuient pas sur ces forces, mais plutôt sur les parties les plus conservatrices de l'Église (Opus Dei). [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture