Empire autoritaire, règne de Napoléon III, doctrine Saint-Simoniste, indépendance, politiques, légende napoléonienne, puissance, France
Un culte de la personnalité s'instaure autour de la figure de l'empereur avec notamment la remise en place de la Saint-Napoléon, une célébration datant de l'époque de Napoléon Ier, qui se tient le 14 août.
Une disposition de 1852 au sujet de la censure de la presse et du colportage bafoue les libertés fondamentales. La loi organise alors l'exercice de la presse selon différents procédés, celle-ci se retrouvant alors asservie à l'État.
Enfin, suite à l'attentat d'Orsini en janvier 1858, les répressions se font de plus en plus fortes. En effet, le 14 janvier 1858, Felice Orsini tente d'assassiner Napoléon III en lançant plusieurs bombes en direction de son carrosse. Napoléon III se saisira de cet évènement afin de faire adopter une loi de sûreté générale.
[...] Un culte de la personnalité s'instaure également autour de la figure de l'empereur avec notamment la remise en place de la Saint Napoléon, une célébration datant de l'époque de Napoléon Ier, qui se tient le 14 aout. Une disposition de 1852 au sujet de la censure de la presse et du colportage bafoue les libertés fondamentales. La loi organise alors l'exercice de la presse selon différents procédés, celle-ci se retrouvant alors asservie à l'Etat ? Enfin, suite à l'attentat d'Orsini en janvier 1858, les repressions se font de plus en plus fortes. En effet, le 14 janvier 1858, Felice Orsini tente d'assassiner Napoléon III en lançant plusieurs bombes en direction de son carrosse. [...]
[...] Les réformes sont approuvées par le plébiscite du 8 mai 1870. Dans les années 69/70, l'Empire est à son apogée. La chute de l'Empire en septembre 1870 Napoléon III est vieux et malade et sa dynastie fragile : il n'a qu'un fils héritier, qui plus est jeune et fragile. La seule option possible serait la régence, mais cela va à l'encontre de la tradition salique (les femmes ne peuvent ni prétendre au trône, ni transmettre la couronne à leur fils aîné). [...]
[...] Il va alors changer de politique intérieur et chercher de nouveaux soutiens auprès, par exemple, des républicains, des démocrates et même des ouvriers. La libéralisation et la chute de l'Empire (1859-1870) Une libéralisation en trois étapes 1859-1860 : Amnistie et augmentation des pouvoir parlementaires (droit d'adresse, budget, publication des débats). 1863-1864 : Politique moins cléricale et plus sociale (revendiquée depuis 1795): V. Duruy, droit de grève, égalité juridique. 1867-1868 : Droit d'interpellation et rétablissement des libertés publiques (La Lanterne, d'H. Rochefort), agitation républicaine. En résumé, de nombreuses réformes politiques et sociales ont lieu et le régime est de plus en plus parlementaire. [...]
[...] La guerre contre la Prusse met également l'Etat à mal. L'armée était mal équipée et mal préparée. Le recrutement s'étant fait par tirage au sort, les recrues sont peut motivées. Au contraire, la Prusse est un « Etat soldat », bien préparé. La défaite de Sedan lieu le 2 septembre 1870. Napoléon III est fait prisonnier. Finalement, le 4 septembre 1870, la IIIème République est proclamée. Le Général Tronchu, et Léon Gambetta mettent en place le gouvernement dit de « Défense nationale. [...]
[...] L'agriculture se développe elle aussi. L'Etat se trouve alors dans une doctrine économique et sociale Saint-Simoniste : l'Etat joue un rôle primordial dans la redistribution des richesses et de soit d'améliorer le sort du peuple. Il doit s'engager, aider. L'Exposition Universelle à Paris montre la croissance économique. Entretien de la légende napoléonienne grâce à la politique extérieure Napoléon III veut faire en sorte que la France reprenne sa puissance diplomatique. Lors de la guerre de Crimée entre Ottomans et Russes, de 1845 à 1855, la France défend son allié Ottoman (allié depuis François Ier). [...]
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