Révolution française, naissance, Nation, DDHC, Ancien Régime
En 1789, à la Révolution française, on regarde en arrière pour trouver les causes de l'Ancien Régime. Notre pays, en 1789, est en crise, une crise très profonde. Cette crise pourrait avoir commencé dans les dernières décennies de l'Ancien Régime (période de la Monarchie), depuis 1750, la crise prend de l'ampleur. On appelle aussi cette période, l'époque Moderne. Période importante, car c'est la période d'un courant littéraire important, qui est la période des Lumières. Période propice à des propositions, à une remise en cause des institutions, de la société, avec un débat d'idées. On peut apporter plusieurs explications à la crise qui existe. D'abord, pour se pencher sur les explications de la crise, on peut dire dans un premier temps que les institutions de la Monarchie ont mal vieilli. Elles sont presque prématurément usées, elles ont mal résisté au temps. Elles ne conviennent plus au temps. Sur la question du pouvoir politique, le pouvoir est entre les mains du Roi, qui concentre tous les pouvoirs (principe même de la Monarchie absolue).
[...] On appelle aussi cette période, l'époque Moderne. Période importante, car c'est la période d'un courant littéraire important, qui est la période des Lumières. Période propice à des propositions, à une remise en cause des institutions, de la société, avec un débat d'idées. On peut apporter plusieurs explications à la crise qui existe. D'abord, pour se pencher sur les explications de la crise, on peut dire dans un premier temps que les institutions de la Monarchie ont mal vieilli. Elles sont presque prématurément usées, elles ont mal résisté au temps. [...]
[...] Elles sont composées de 4 magistrats professionnelles, dont un président, dont le rôle est d'assurer la police de l'audience. A leur côté, siège également un accusateur public, par tribunal criminel. Il est chargé de diriger les poursuites, c'est lui qui dirigera l'accusation. L'intérêt de l'état en est atteint. C'est un représentant de la Nation. A côté de lui, on trouve le commissaire du pouvoir exécutif, c'est à lui qu'incombe de requérir l'application de la peine. Il ira sur le lieu de l'exécution pour voir si ça a bien été appliqué. [...]
[...] Le roi dirige cette administration. Il est à la tête de ce pouvoir exécutif, il peut annuler tous les actes et toutes les décisions prises. Il est bien à la tête du pouvoir exécutif, mais il n'a pas tout les attributs. Dans les mois qui vont suivre, on va observer que cette réforme administrative va entrainer une confusion pour une raison principale, il va y avoir une anarchie. Il n'y a pas de lien de subordination entre le roi et les élus. [...]
[...] On réclame la suppression de la taille et de la dîme. Au niveau de la justice, améliorer la procédure criminelle. Avant 1789, toutes les personnes accusés de crime devaient répondre seules et n'avaient pas l'assistance d'un avocat, donc on réclame un avocat. Ensuite, on voulait supprimer la torture. Au delà de ses aspects, beaucoup pensent que les peines devraient être fixées par la loi. C'est le principe de la légalité de peines, il faudrait qu'elles soient prévues par la loi. [...]
[...] On voit dans quelques grandes villes de provinces, ce type de phénomène. Il va se passer que la population locale va agir comme l'ont fait les parisiens. Dans quelques unes de ses grandes villes de provinces, la population va chasser les autorités municipales. Ces populations locales instituent des comités permanentes. Elles n'opposent pas de résistance. Dans les campagnes, il y a un autre phénomène, c'est le phénomène de la Grande-Peur, dans la 2nde 15aine d mois de juillet. C'est un mouvement de révolte. [...]
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