Reconstruction de l'Europe après 1918, armistice, 11 novembre 1914, Société des Nations, paix, axe franco-allemand, courants européistes, Europe des intellectuels, fin de la Première Guerre mondiale, cours
Le 11 novembre 1918, l'armistice est signé, suite à cela une conférence de pays est organisée à Paris pour négocier, cette conférence dure 6 mois jusqu'au 28 juin 1919 et découle sur le traité de Versailles, il est imposé au pays vaincu. Le traité dit que l'Allemagne est seule coupable ainsi que ses alliés. On est dans un traité accusateur qui est écrit à sens unique. Le traité de Versailles et ceux qui suivent dessinent une Europe nouvelle avec le replacement de l'Alsace-Moselle et le démantèlement de grands empires donnant naissance ainsi à de nouveaux états comme la Yougoslavie ou la Pologne.
[...] Aussi ce n'est contre personne. Sa proposition consiste a créé une Union européenne avec une structure qui ressemble un peu à celle de la SDN puis d'un comité (conseil) politique et puis d'un secrétariat. Il s'agit pour lui de se fonder sur l'union et pas l'unité, sur un rapprochement économique volontairement choisi. C'est va s'effondrer aussi fortement que la bourse de New York. Les Anglais vont refuser de rejoindre pour ne pas rejoindre la SDN. Le mémorandum est donc un échec, mais qui va marquer un certain ombre d'esprit. [...]
[...] La reconstruction de l'Europe après 1918 Le basculement de la Première Guerre mondiale à l'idée européenne. 1)Le poids de la paix Le 11 novembre 1918, l'armistice est signé, suite à cela une conférence de pays est organisée à Paris pour négocier, cette conférence dure 6 mois jusqu'au 28 juin 1919 et découle sur le traité de Versailles, il est imposé au pays vaincu. Le traité dit que l'Allemagne est seule coupable ainsi que ses alliés. On est dans un traité accusateur qui est écrit à sens unique. [...]
[...] Cette idée sera retrouvée régulièrement même chez Churchill qui disait nous sommes avec l'Europe, mais nous ne sommes pas une partie d'elle L'URSS est une puissance eurasiatique et qui a rompu avec l'essence de l'Europe qui est le système démocratique parlementaire Coudenhove-Kalergie. Pour les européistes, l'URSS a choisi de s'isoler. La Turquie, c'est tout neuf, et cela pose la question de la relation entre l'Europe et l'Asie : ou l'Europe s'arrête-t-elle ? 2)L'Europe et la SDN La SDN est créée pour résoudre les problèmes mondiaux avec un secrétaire général qui doit jouer un rôle de facilitateur. Mais le problème de la Ruhr, ça marche par des petites conférences entre les pays. La SDN s'illustre par son inutilité. [...]
[...] Les militants européistes vont dessiner des projets d'Europe en paix. II- Les figures d'intellectuels et de militant européiste. 1)Les différents courants européistes Émile Borel propose une coopération européenne et veut petit à petit atteindre la construction d'une grande Europe. Il y a un courant proposé par Coudenhove-Kalergie qui est la Paneurope, son idée est que l'Europe a perdu la suprématie sur le monde, mais mise sur des points fort comme la culture et les empires coloniaux, il a peur que la Russie s'impose face à l'Europe , il veut une Europe du libre-échange . [...]
[...] La construction d'un sentiment européen, ça passe par la technique et quotidien. Il a la construction de la société des Nations pour rompre avec la diplomatie secrète. C'est un cadre offert pour permettre aux Européens de se concerter, mais la SDN n'est pas un organisme européen, mais mondial auquel des pays non européens adhèrent comme des pays d'Amérique du Sud ainsi que le Japon. C'est un organe d'apprentissage pour les experts du droit international. L'idée d'un axe franco-allemand La France et l'Allemagne sont à l'origine de la guerre. [...]
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