Première guerre mondiale, expérience des combattants, mobilisation, guerre industrielle, civils, violence, champ de bataille, tensions internationales
Dans ces puissances belligérantes, l'industrie est au service de la guerre. Les productions sont massives et standardisées (armement…) sous la conduite de l'Etat. Des armements nouveaux apparaissent : canons à longue portée, mitrailleuses, premiers chars d'assaut et avions de combat (pilotes : les As). La génération est marquée par la mort de masse. Renault fabrique en 1918 plus de 4500 moteurs d'avion. L'aviation fait des progrès rapides même si les avions de combat restent peu nombreux (surtout pour le repérage). Tout ceci change la nature de la guerre. C'est une guerre anonyme : on ne se fait plus tuer au corps à corps, mais par un obus, des gaz de combats (1% des pertes directes).
[...] Chapitre 1 : La Première Guerre Mondiale : L'expérience combattante dans une guerre totale Problématique : En quoi le caractère de la guerre influence-t-il l'expérience des combattants ? I. Une guerre s'un genre nouveau 1. Une mobilisation sans précédent Aucun continent n'est épargné par la guerre (Pays Européens en guerre mais aussi leurs colonies en Afrique, Asie Le Japon est aussi engagé dans la guerre du côté des Français : Raisons politiques ; il veut s'approprier des possessions Allemandes. Guerre Mondiale C'est aussi une guerre totale : guerre dans laquelle tous les moyens ; humains, matériels, économiques, financiers et psychologiques sont mis au service de l'effort de guerre en vue d'une victoire à n'importe quel prix. [...]
[...] A la fin des années 1920, c'est l'apogée de l'esprit de Genève. Le pacifisme semble l'avoir emporté. Il est incarné en France par Aristide Briand, ministre des affaires étrangères, prix Nobel de la paix en 1926, il milite pour le désarmement et l'unité de l'Europe. Livre avec pour fond la société des nations : Belle du seigneur d'Albert Cohen 3. La société des nations à l'épreuve des tensions internationales La SDN se heurt à l'isolationnisme des Etats-Unis : Ils ne se mêlent pas au monde. [...]
[...] Aucun des membres ne proteste (protestation de pure forme). Hitler qui a bien compris leur faiblesse annexe ensuite l'Autriche (Anschluss), ce qui fut aussi interdit. La société des nations ne fait toujours rien. En novembre 1938, les accords de Munich annoncent le démantèlement de la Tchécoslovaquie. En 1939, Hitler attaque la Pologne le premier septembre. C'est le début de la Seconde Guerre Mondiale et l'échec de la société des nations. Celle-ci est dissoute en 1946 et le palais des nations à Genève est donné à l'ONU. [...]
[...] Ce dernier devient un héro et y gagne le titre de Maréchal. Tentative côté Français : Le chemin des dames (entre Reims et Soisson) : Offensive lancée par le général Nivel qui pensait arriver à une percée décisive. C'est un échec total (Nivel est destitué de ses fonctions). Il apparaît ainsi, à cause de ces échecs meurtriers et sanglants, l'absurdité de cette guerre ainsi que l'incompétence des dirigeants. Depuis lors, toute percée devient impossible 3. Les civils à l'épreuve des violences Dans les départements occupés (Nord-est de la France, Belgique), les populations civiles ont subies des pillages par les troupes d'occupation, des destructions, des massacres, des exécutions, des viols et même des déportations. [...]
[...] On recense à la fin de la guerre 8 millions de blessés, mutilés et infirmes. On les appelle les gueules cassées (film : La chambre des officiers de Dipeyron) : Ce sont des personnes défigurées, gazées (les gaz de combat brulent la peau et les muqueuses), aveugles. Jamais les soldats n'avaient été aussi vulnérables durant un guerre (Ce sont de véritables “chaires à canon“). Les bombardements occasionnent 75% des pertes directes : Les éclats d'obus tuent, mutilent. Sous le feu des canons, des mitrailleuses, des obus, les soldats se cachent au fond des tranchées, des trous d'obus. [...]
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