Le parti communiste, 1981-2011, entre déclin et résistances

Thèmes abordés

Parti, communiste, 1981-2011, déclin, résistance

Résumé du document

Passage de 25% à 20% au sortir de la guerre, car opposition du général De Gaulle et entrée des troupes soviétiques en 1952. Le parti communiste va se maintenir au dessus des 20%. Phase de maintien. Seconde phase : 1981, il va atteindre 15,3% et au législative il ne fait que 16,3% des voix.

Extraits

[...] les élections nationales de 2002 vont confirmer le déclin : aux élections présidentielles de 2002, aux législatives 4,9%. il recueille de justesse un groupe parlementaire de 22 élus, mais nouvelle fragilisation : au premier tour des présidentielles. On va connaître un mieux électoral dans la dernière période : création du parti de gauche par Mélenchon, en février 2009 et mise en place d'une stratégie d'alliance au travers du Front de gauche. Les élections européennes de 2009 : pour le front de gauche. Il est devant le parti de Besancenot. Les régionales de 2010 vont confirmer ces résultats. [...]

[...] Le parti communiste va se maintenir au dessus des 20%. Phase de maintien. Seconde phase : 1981, il va atteindre 15,3% et au législative il ne fait que 16,3% des voix. Explications : déclin de l'image de l'URSS et émergence du syndicat solidarité en Pologne. Du point de vue sociologique, décrochage de l'implantation communiste dans la population ouvrière. Aux législatives de 1986 et de 1988, on constate que la résistance au déclin se manifeste moins au niveau d'implantation, mais au niveau de la présence des élus. [...]

[...] On peut présager un bon score pour Mélenchon, a moins qu'il y ait la crainte de la disparition du parti socialiste du à la montée du FN et du l'éventuelle remontée de UMP. sociologie électorale Vieillissement de l'électorat. Il est plus diversifié également. Seul d'ouvrier vote pour le PC. Il ne parvient plus à répondre à la diversité du monde salarié. Les sympathisants communistes se distinguent par leur résistance aux évolutions économiques. Ils sont plus hostiles que les acteurs socialistes vis à vis de UE et de la mondialisation. [...]