La Première Guerre mondiale sur le plan des idées va jouer un rôle d'accélérateur. Elle a précipité la venue au pouvoir d'idées politiques qui existaient avant elle. Parallèlement, la crise de la démocratie libérale s'est également accélérée. Alors que ce libéralisme triomphait dans les premiers depuis 1870, de plus en plus ce libéralisme est attaqué par la gauche, mais surtout de la droite et de l'extrême droite au nom de la tradition, de l'histoire et de l'unité nationale.
Ces attaques n'inquiètent pas beaucoup les dirigeants parce qu'ils pensent que la démocratie est très bien enracinée. La Première Guerre mondiale apparaît même comme la victoire de la démocratie sur les régimes autoritaires. L'Allemagne vaincue se donne des intentions démocratiques (République de Weimar).
Le traité de Versailles crée une Société des Nations transposant le modèle démocrate aux relations internationales. Seule la Russie refuse ce modèle. Pourtant dix ans après le traité de Versailles, les constitutions des États démocratiques s'effondrent : l'Italie est devenue fasciste et l'Allemagne marche à grands pas vers le nazisme.
Maurras a écrit ''enquête sur la monarchie '' dans lequel il pose la question d'un retour de la monarchie pour sauver la France de la décadence. Pour lui, la République est un régime totalement inacceptable. C'est dans ce régime que les protestants, les juifs, les métèques (étrangers) et les francs-maçons ont le champ libre pour perturber la nationalité française.
Pour lui, la démocratie c'est le mal, la démocratie c'est la mort. Il explique que la démocratie repose sur des principes totalement absurdes, les libertés individuelles, l'instabilité gouvernementale, l'incompétence des dirigeants, le suffrage universel (qui ne porte pas au pouvoir les meilleurs, mais les plus corrompus). Pour lui, c'est également le règne des partis politiques, le développement du fonctionnariat qui sert à assurer la réélection des dirigeants se faisant ainsi une clientèle. En fait, la démocratie pour Maurras, c'est le règne de l'argent et non le pouvoir du peuple.
Maurras a écrit ''enquête sur la monarchie'' dans lequel il pose la question d'un retour de la monarchie pour sauver la France de la décadence. Pour lui, la République est un régime totalement inacceptable. C'est dans ce régime que les protestants, les juifs, les métèques (étrangers) et les francs-maçons ont le champ libre pour perturber la nationalité française. Pour lui, la démocratie c'est le mal, la démocratie c'est la mort.
Il explique que la démocratie repose sur des principes totalement absurdes, les libertés individuelles, l'instabilité gouvernementale, l'incompétence des dirigeants, le suffrage universel (qui ne porte pas au pouvoir les meilleurs, mais les plus corrompus). Pour lui, c'est également le règne des partis politiques, le développement du fonctionnariat qui sert à assurer la réélection des dirigeants se faisant ainsi une clientèle.
[...] Le nationalisme de De Gaulle repose sur une certaine conception de l'État et du pouvoir. Cet État doit être fort, il doit être au service de l'intérêt général. Pour cela, il doit y avoir un pouvoir exécutif capable de gouverner et de prendre des décisions rapides lorsque les circonstances l'exigent. C'est ce qui lui inspirera la Constitution de la Vème République. Pour De Gaulle, ce chef de l'État n'exerce pas le pouvoir à son profit, mais il est placé au service de la nation qui occupe le premier rang pour De Gaulle. [...]
[...] Sur le plan éducatif, l'école doit être unique : l'école de l'État. In ne doit pas y avoir d'écoles privées. Cette école ne doit pas être neutre, elle doit être au service des idéaux et des intérêts du régime. Sur ce point-là, le fascisme s'est heurté à la résistance de l'Église catholique qui n'était pas en accord avec cette école totalitaire. L'État possède le monopole des associations et transforme les partis politiques et les syndicats en organisations vouées à son propre développement. [...]
[...] Toutefois, il accepte de maintenir un droit de vote limité, mais ne s'agit pas de désigner des représentants, mais des conseils qui aideront le roi comme sous l'Ancien Régime. ( Cette monarchie doit enfin être décentralisée (doublement), une décentralisation professionnelle ou corporative devra compléter une décentralisation territoriale permettant à toutes les catégories professionnelles de participer à l'élaboration de la réglementation les concernant. Le citoyen au lieu d'être un administré deviendra un personnage important de sa ville, de sa région (province) et de son corps de métiers. Dans cette monarchie, il faut faire une place privilégiée à la famille et l'Église. [...]
[...] On va lui confier une mission. En 1919, on lui donne la mission d'aller espionner le parti ouvrier allemand. Ce parti ouvrier, il va le rebaptiser de parti national socialiste allemand dont il devient le chef en 1920. Le programme est simple : régénération raciale, la défense des classes moyennes contre les juifs et les communistes, la suppression des chaînes du traité de Versailles, le renversement de la République de Weimar et la création de la grande Allemagne regroupant tous les Allemands. [...]
[...] Le nationalisme après la Première Guerre mondiale La Première Guerre mondiale sur le plan des idées va jouer un rôle d'accélérateur. Elle a précipité la venue au pouvoir d'idées politiques qui existaient avant elle. Parallèlement, la crise de la démocratie libérale s'est également accélérée. Alors que ce libéralisme triomphait dans les premiers depuis 1870, de plus en plus ce libéralisme est attaqué par la gauche, mais surtout de la droite et de l'extrême droite au nom de la tradition, de l'histoire et de l'unité nationale. [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture