Mur de Berlin, Allemagne, seconde guerre mondiale, régime nazi, autorité communiste, régime capitaliste
Berlin est la capitale et la plus grande ville d'Allemagne. Vers la fin de la Seconde Guerre mondiale, la ville située au nord-est de l'Allemagne fut détruite à 33% de sa superficie suite à la bataille de Berlin qui se déroula entre la fin avril 1945 et le 2 mai 1945 et qui fut l'une des plus sanglantes et des plus coûteuses en vies humaines. Ce conflit opposa ce qui restait des forces du Troisième Reich d'Hitler à l'Armée rouge envoyée par l'URSS . Ce fut le coup final porté au régime nazi qui capitula le 8 mai 1945, soit six jours après la fin de la bataille.
[...] Empêcher l'expansion de la Russie. L'arrêt du communisme, qui était un sujet très chaud à l'époque, est donc la raison principale expliquant pourquoi la présence américaine est encore importante à Berlin-Ouest. L'opinion des Américains questionnés sur ce sujet reflète ce que les Américains en général craignaient à l'époque, c'est-à-dire une expansion trop importante de la Russie, et par conséquent, du communisme. Thèse de la problématique Comme nous l'avons vu précédemment, la construction du Mur de Berlin fut en fait une action posée par la RDA pour protéger l'état contre l'effondrement politique et social suite aux grandes vagues d'exode de l'Allemagne de l'Est au profit de l'Allemagne de l'Ouest. [...]
[...] Les Américains ont donc réagi de façon diplomatique face à la construction du Mur de Berlin. Certes, cette édification n'était pas un acte de paix lancé par l'Union soviétique, mais la situation à Berlin était déjà tendue avant la venue de ce mur. De plus, les États-Unis ont pu en quelque sorte utilisée cet événement pour promouvoir le monde libre et ainsi prouver que le régime communiste brimait les droits et libertés des hommes. Conclusion Matérialisant physiquement la rivalité des deux régimes politiques lors de la Guerre Froide, le Mur de Berlin fut un événement très important dans l'histoire de l'Allemagne. [...]
[...] Bibliographie TAYLOR, Frederick, Le Mur de Berlin 1961-1989, Édition JC Lattès p. FIGUIÈRE, Céline, A Berlin, le «permis de tuer» de la Stasi plombe la commémoration du Mur, Le Temps août 2007 HÉNARD, Jacqueline, Berlin-Ouest, histoire d'une île allemande, 1945-1989, Édition Perrin p. FREEDMAN, Lawrence, Kennedy's wars: Berlin, Cuba, Laos and Vietnam, Oxford University Press p. ICPSR : Inter-University Consortium for Political and Social Research Attitudes Toward American Foreign Policy: West Germany MAY, Ernest R., American Cold War Strategy: Interpreting NSC Edition Bedford/St. [...]
[...] Cependant, entre 1949 et 1961, près de trois millions d'Allemands quittent l'Allemagne de l'Est pour rejoindre celle de l'Ouest. Berlin-Ouest devient pour ceux qui désirent quitter le régime communiste une sorte de porte ouverte vers l'Occident. Les Allemands appelaient cette migration «voter par les pieds». De plus, plusieurs citoyens résidants dans la RDA, où le loyer était moins cher, partaient travailler dans la RFA et revenaient le soir venu. L'Allemagne de l'Est, au bord de l'effondrement économique et social, voyait d'un très mauvais œil ses exodes de plus en plus populaires. [...]
[...] De plus, nous aurons un aperçu des sources bibliographiques sur le sujet ainsi qu'une réflexion sur l'historiographie. Finalement, nous analyserons des données récupérées sur le site de l'ICPSR et nous formerons une thèse afin de répondre à notre question de recherche. Problématique Comme nous l'avons précisé précédemment, les États-Unis et l'URSS, dès la fin de la Seconde Guerre mondiale, sont entrés dans une rivalité politique et militaire pendant environ quarante-cinq ans. La «Guerre Froide», nom donné pour représenter la tension entre les deux puissances, fut marquée par plusieurs provocations et affrontements indirects à travers le monde (Guerre de Corée, Guerre du Vietnam, Crise des missiles cubains, etc.) entre 1947 et 1991. [...]
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