Les origines de la monarchie anglaise : révolution, Churchill, etc.

Résumé du document

Synthèse d'Histoire niveau Lycée sur la naissance de la monarchie anglaise.

Extraits

[...] Au total, le duc de Normandie pouvait compter sur 7000 à 8000 soldats pour aller guerroyer. Il réussit aussi à réunir une flotte de 459 vaisseaux. Le 12 août tout était prêt il attendit un mois pour avoir des vents favorables pour traverser les 150km de mer qui séparait l'Angleterre de la Normandie. Lors du débarquement de Guillaume Le Guillaume, Harold doit faire face à une autre attaque du roi de Norvège à Conquérant York. Il doit rassembler ses hommes qui étaient affaiblis par la première bataille pour aller combattre contre l'armée de Guillaume. [...]

[...] A l'intérieur, il a provoqué l'ire d'une partie de la population et à l'extérieur il passe pour le caniche de Bush sans réussir à établir la paix en Irak. Mais cette grave crise de confiance n'a certes pas détruit Blair, mais elle l'a empêché de mener à terme ses réformes. Il quitta le pouvoir en juin 2007 et fut remplacer par Gordon Brown. Tôt ou tard, le nom de Blair s'ajoutera à la liste des Premiers ministres qui, de Disraeli à Thatcher, de Gladstone à Attlee, ont patiemment forgé le modèle britannique. [...]

[...] En août 1841, Robert Peel forme un gouvernement conservateur dont Disraeli est exclu. Une longue lutte s'engage entre ces deux hommes. L'affrontement entre Disraeli et Peel éclate en 1845-1846 sur la question du passage de la Grande-Bretagne au libre-échange. En 1846, il provoque la rupture, au sein du Parti conservateur, entre protectionnistes et libre-échangistes. Peel doit démissionner et met un terme définitif à sa carrière politique juste après ça. En 1852, Disraeli est désigné dirigeant du mouvement protectionniste aux Communes. Il devient chancelier de l'Echiquier. [...]

[...] Celui-ci était le beau-frère d'Edouard il régnait sur le comté de Wessex, territoire qui comprenait le sud de l'Angleterre. Guillaume avait 2 choix devant lui : se résigner ou s'emparer du royaume par la force. Il choisit le deuxième choix car c'était un homme bien trempé. Une épopée qui, en neuf mois, de la mi-janvier à la mi-octobre 1066, va aboutir à la conquête de l'Angleterre. Pour conquérir l'Angleterre, il lui fallait plus que les 2000 et 3000 hommes fournis par chaque vassal pour le service féodal. [...]

[...] Il compte 4.2 millions d'étrangers tout en préservant leurs traditions. Sur le plan économique, Tony Blair et Gordon Brown n'ont pas hésité à revenir à une pratique keynésienne à partir de 2001 en investissant plus de 200 milliards dans les services publics, la santé, les transports, etc. Sur le plan international, Tony Blair voulait la paix. Il était un fervent admirateur de Bill Clinton et il noue des complicités diplomatiques avec son successeur George W. Bush. Il reste des ombres sur le tableau du 1er ministre comme l'éducation plus de des enfants scolarisés seraient en échec et que 20% des Anglais seraient illettrés. [...]