Deuxième République, 1848, mise en place, pentarques, Lamartine, Ledru-Rollin, Odilon Barrot, peine de mort, césarisme, institutions républicaines, élections du 23 avril 1848, orléanistes, Louis Napoléon Bonaparte
Les deux partis des banquets étaient la gauche dynastique (Odilon Barrot) et les radicaux (républicains). Il n'y a alors plus de droite. Lamartine devient chef des affaires étrangères et chef du gouvernement. Suite aux nominations, la foule demande des ministres supplémentaires. Lamartine propose le drapeau tricolore. On met en place des mesures audacieuses, économiques et sociales avec des ateliers nationaux, mais aussi des mesures politique : le 26 février, la peine de mort politique est abolie. Aux élections le 23 avril 1848, il y a beaucoup de monarchistes (100) ; on constate la fragilité du pouvoir (230 votes pour les républicains du lendemain).
On constate de rapides désillusions. L'économie n'aime pas les révolutions. La situation se dégrade avec une fuite des capitaux et une méfiance face à la Seconde République. Le gouvernement augmente les impôts de 45%. En juin 1848, le gouvernement est à cours d'argent. Il veut mettre progressivement fin aux systèmes des ateliers nationaux. La situation politique se dégrade, on veut former un gouvernement de cinq chefs du pays. Ce système est celui des pentarques ; à coté il y a des ministres. Les cinq pentarques sont : Lamartine, Arago, Garnier Pages, Marie et Ledru-Rollin.
[...] La situation se dégrade ( fuite des capitaux et méfiance face à la Seconde République. Gouv augmente les impôts de 45%. Juin 1848, le gouvernement est à cours d'argent. Il veut mettre progressivement fin aux systèmes des ateliers nationaux. ( Situation politique se dégrade ( on veut former un gouvernement de 5 chefs du pays. Ce système est celui des pentarques ; à cotés il y a des ministres. (Pentarques : Lamartine, Arago, Garnier Pages, Marie, Ledru-Rollin avril 1848 ( manifestation pacifique d'environ ouvriers parisiens 15 mai 1848, il y a une sorte de coup d'état raté 10juin il y a les élections partielles : phénomène assez bizarre, républicains modérées n'ont pratiquement plus d'élus. [...]
[...] - Juin 1851 : réunion de l'Assemblée pr étudier cette question. Opposition très forte entre LNB et l'Assemblée car il nomme des ministres de son propre parti ( conflit ouvert. - Juillet 1851 : la proposition de changement de la Constitution obtient 446 pour et 278 contre (bonne majorité mais ce n'est pas les - LNB commence à penser à un coup de force. 3.) Le coup de force - LNB, de Morny, Persigny ( têtes pensantes du coup de force. [...]
[...] On a peur de l'exécutif qui se met en place. Assemblée constituante, élu en avril, refuse de se dissoudre. Voix très critique contre le gouvernement de l'ordre. On a peur de l'exécutif qui se met en place. Elle refuse de séparer avant d'avoir voté le budget de 1849 et elle ne se sépara pas après avoir voté 10 lois organiques. (lois qui s'ajoutent à la constitution). ( protège la République. Fin janvier 1849, le gouvernement fait encercler l'assemblée par l'armée. [...]
[...] Assemblée reprend le contrôle de la situation. Elle nomme un dictateur. Il restera dictateur pendant quelque jour ( républicain modéré, militaire de carrière ( Cavaignac. Il a pour charge la répression de la révolution juin, il y a une reconquête systématique de la capitale (barricade après barricade). C'est un massacre. Assemblée le nomme juste après, président du conseil des ministres. Triomphe de la réaction du retour en arrière. Dans l'assemblée, il y a des recompositions politiques. Républicains du lendemain se redécouvre monarchistes, orléanistes. [...]
[...] Tous les personnages important de ce parti sont battus. Les républicains avancés qui se sont présenté eux même sous l'étiquette démocratique et social (ou les démoc soc/ les rouges) rassemblent 200 sièges. ( Radicalisation 3.) Une politique réactionnaire - Durcissement dès 1849, à la fois à l'intérieur et à l'extérieur de la France. a. A l'extérieur : l'aventure italienne Plusieurs mouvements allant vers l'unification de l'Italie ( tentative de soulèvement qui échoue. L'Ordre décide d'envoyer à Rome, un corps expéditionnaire français (dirigé par le général Oudinot) afin de reprendre la ville, chasser les révolutionnaires et de réinstaller le Pape sur le trône de St Pierre. [...]
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